À compter d’aujourd’hui, nous vivons à crédit

À compter d’aujourd’hui, nous vivons à crédit

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Par Rachid Majdoub

Publié le

Toujours plus tôt

1,6 planète nécessaire pour répondre à nos besoins

De nos jours, il faudrait donc plus d’une moitié de planète en plus pour couvrir la consommation mondiale. Et si cette évolution continue, deux planètes seront nécessaires en 2030. Notre planète va mal, et elle peut remercier nos amis japonais par exemple, qui consomment l’équivalent de cinq Japon et demi sur une année. D’autres pays, nombreux, nous font aussi tirer la sonnette d’alarme (de l’irresponsabilité).
Et les causes de cet épuisement sont nombreux, à commencer par l’obsolescence programmée.

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Car même l’utilisation et le renouvellement d’un téléphone portable contribue à l’affaiblissement de notre planète, comme le raconte Christoph Meili, spécialiste en écobilans au WWF Suisse :

Pour freiner le gaspillage des matières premières et ménager l’environnement, il faudrait utiliser les appareils tels que les téléphones portables le plus longtemps possible et lutter contre la mentalité qui veut que l’on jette rapidement un objet démodé.

Résultat de cette surconsommation : gaz à effet de serre, déforestation ou encore matières premières et réserves d’eau de plus en plus faibles. Il serait peut-être temps de revoir notre comportement et nos habitudes, avant qu’il ne soit trop tard.