On vous révèle tous les détails cachés du teaser de la série Netflix One Piece

Rdv le 31 août

On vous révèle tous les détails cachés du teaser de la série Netflix One Piece

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Par François Faribeault

Publié le

Netflix a mis le paquet sur des détails qui donnent de l’espoir quant à la réussite de cette série.

Attendu depuis bien trop longtemps, Netflix dévoile enfin le premier teaser de One Piece en live action. Bon, on ne va pas se mentir, connaissant le passé des différents studios s’étant cassé les dents sur des projets d’adaptation live action de mangas (Bleach, Death Note, Dragon Ball, Saint Seiya pour ne citer qu’eux), on avait un peu peur. Et suite à ce teaser, il est difficile d’avoir un avis tranché.

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Mais ce dont on peut être sûrs, c’est que Netflix a fait le maximum pour adapter les aventures de Luffy. La preuve avec de multiples détails qui plairont aux fans de l’œuvre d’Eiichirō Oda.

La cicatrice de Luffy est discrète

Dans le manga, on ne voit que ça sur son visage. Comme c’est une adaptation réaliste, on peut se dire que la cicatrice a commencé à s’effacer quelques années après sa blessure. On espère juste que sa future blessure au torse ne ressemblera pas un coup de soleil.

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Les tenues des membres de l’équipage sont adaptées des couvertures d’Oda

Excellente idée du côté des costumes. Si, dans le manga, les personnages gardent leurs vêtements pendant tout un arc, la production a jugé bon que les héros se changent entre chaque aventure. Qui plus est, sur les couvertures d’Oda, les personnages sont souvent habillés de façon plus classique et adaptée au quotidien.

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Pourquoi un néon sur le Baratie ?

On pourrait crier au scandale, que les néons n’ont rien à faire dans une œuvre comme One Piece, mais rappelez-vous que One Piece, c’est aussi des robots qui tirent des lasers. De plus, en créant le Baratie, Zeff avait pour volonté de proposer un restaurant-bateau visible aussi bien le jour que la nuit. Ça tient la route.

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Shells Town se trouve sur une île bien plus grande que dans le manga

Ici, on a une petite nuance par rapport au manga. Dans l’œuvre papier, la ville tient entièrement sur une petite île. Netflix et Oda sont partis sur un choix différent, proposant une station balnéaire avec, à son sommet, la bonne vieille base de la Marine.

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Morgan en format 4K

Hop hop hop, on distingue un poster géant à l’effigie du bien-aimé capitaine Morgan. Aura-t-il une hache à la place du bras ? La réponse à la fin de l’été.

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Zoro affronte Mr. 7 de la Baroque Works

Eh oui, le type en rouge est bel et bien l’agent numéro 7 de l’organisation secrète de Crocodile. On le savait sans jamais l’avoir vu ou lu, mais avant d’entrer dans l’équipage de Luffy, Zoro a été approché par la Baroque Works en vue d’être recruté. C’est Mr. 7 qui s’est occupé du recrutement. Visiblement, ça n’a pas fonctionné.

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Baggy le clown, c’est oui

Ce n’est pas vraiment un détail mais je tenais à signaler que Baggy est très réussi. Dans le manga, Oda l’introduit comme un dangereux ennemi aussi fou que cruel et la série a l’air de reproduire plutôt correctement cet aspect.

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Vous voyez le petit baril dans la mer ?

À gauche, un bateau lambda. À droite, le navire de la terrible Alvida. Au milieu, un petit objet non identifié qui sera bientôt ramassé par l’équipage pirate et lancera les aventures du futur Roi des Pirates.

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Zoro et son bandana

Apparemment, Roronoa enfile aussi son bandeau lorsqu’il porte des caisses.

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Le navire de Garp

C’est assez succinct mais on distingue bien le navire légendaire du meilleur vice-amiral de la Marine, Garp. C’est d’ailleurs sûrement lui qu’on voit à l’avant du bateau. On en profite aussi pour découvrir avec surprise la forme complètement inattendue du navire. Vous en pensez quoi ?

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Sanji est le plus stylé de l’équipage

Si Nami pèche par sa coiffure beaucoup trop orangée et qu’on attend de voir si l’épée dans la bouche de Zoro sera crédible, pour l’instant, sur les courts extraits, c’est Sanji qui remporte la Palme d’or de la meilleure adaptation. Si on peut tiquer sur les costumes ressemblant à des cosplays, celui de Sanji est carré. En même temps, un costume cravate, ça passe partout.

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Lui, c’est Fullbody

Le bras qui tient le pistolet appartient au lieutenant commandant de la Marine Fullbody. D’ailleurs, sur cette scène, on remarque que Sanji se bat avec un plat dans une main et l’autre main dans la poche. On distingue aussi le “B” de Baratie sur les portes en arrière-plan.

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Les sandales de Luffy

Dans le manga, Luffy porte constamment des sandales. Ce n’est même pas un débat : avec son chapeau de paille, c’est son vêtement de base. Sauf qu’ici (scène d’Arlong Park), il semble qu’il portera plutôt des chaussures fermées. Peut-être que la série expliquera ce choix scénaristique osé.

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Koby est blond

Le petit gars à droite, c’est Koby. Il va apparaître dans un épisode avant de partir faire de la muscu pendant un an et revenir à la saison 4.

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Le corps élastique, tout un débat

C’est un des plus gros défis de cette adaptation : avoir un rendu impeccable sur les pouvoirs du Gomu Gomu. Si les autres Mugi ont des capacités de combat facilement adaptables en live action, Luffy et son corps en caoutchouc tendent davantage vers le cartoon. Serait-ce l’élément qui fera passer One Piece dans la catégorie des nanars du live action ? Où aura-t-on le droit à un Luffy plus agréable à l’œil que Reed Richards dans les Quatre Fantastiques ?

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Rendez-vous le 31 août sur Netflix.