Fatal Bazooka, PZK, Sniper… La crème des années 2000 de retour pour un show légendaire

C'était vraiment une pure soirée

Fatal Bazooka, PZK, Sniper… La crème des années 2000 de retour pour un show légendaire

photo de profil

Par Julie Morvan

Publié le , modifié le

"Parle à ma main", "Chuis bo"… Des hits gravés dans la roche.

Il y a des souvenirs comme ça qui réveillent l’ado boutonneux·euse en chacun·e de nous. Certains, comme la mèche à la Justin Bieber ou la mode des moustaches, nous filent encore des frissons de gêne, mais d’autres nous font vibrer et nous rappellent à quel point les années 2000, c’était quand même super cool.

À voir aussi sur Konbini

Ça tombe bien, hier soir, la crème de la crème de cet âge d’or était réunie à La Kermesse, un festival à Nice, pour un show juste légendaire. De la nostalgie à l’état pur : Kamini, les L5, PZK, Sniper, Fatal Bazooka… Une faille spatiotemporelle complètement déjantée.

Ils sont (toujours) bo

Évidemment, on a eu droit à un retour survolté des membres de l’iconique groupe PZK, toujours aussi fiers de leur beaugossitude absolue. Chorés, distribution de bouées dans le public et autres classiques du groupe comme “Les filles adorent”… Un show parfait zéro défaut.

Sniper vise en plein dans le mille

Un autre moment fort de ce festival, c’était aussi le come-back du célèbre duo Sniper. Il a direct commencé par le culte “Gravé dans la roche”, scandé à l’unisson par une foule en délire. Après nous avoir régalé·e·s avec d’autres classiques, les deux compères ont à nouveau entamé leur tube phare, au beau milieu du public cette fois-ci. Comme une envie de crier “OLA OLA OLAAAAA” en boucle en sautant sur place.

C’est Fatal qui régale

Que serait un festival dédié aux tubes francophones des années 2000 sans Fatal Bazooka ? Une terrible erreur, rien de moins. On a donc toutes et tous exulté à l’arrivée de Michaël Youn sur scène, tout de moumoute vêtu. Rejoint par un Vincent Desagnat coiffé d’un bonnet du plus bel effet, il a chauffé le théâtre de verdure par un explosif “Fous ta cagoule”.

Quelques lancers de sous-vêtements sur scène — dont une pauvre chaussette orpheline, snif – plus tard, Fatal nous a régalés tranquillement à base de tranquillade puis a enchaîné sur un émouvant “Mauvaise foi nocturne”, option mer de flashs de téléphones dans le public. On en avait presque les larmes aux yeux pour cette triste BM ravagée.

© Konbini

On a poursuivi les festivités avec l’hymne niçois, le générique du Morning Live, puis un come-back inattendu de nos chers Bratisla Boys avec l’incontournable “Stach Stach” – élue chanson francophone humaine la plus débile de tous les temps, a fièrement rappelé Michaël Youn !

PZK et Fatal Bazooka se sont ensuite rejoints pour le “party party” sur l’air de “Ce matin va être une pure soirée”. Depuis, on n’a plus qu’une envie : refaire la teuuuuuf.

© Konbini