Mondiaux d’athlétisme, Championnat d’Europe de volley, Coupe du monde de basketball… La fin de l’été s’annonce chargée niveau sport, et ce n’est pas pour nous déplaire. Ambitieux, à un an des Jeux olympiques de Paris, tous ces sportifs veulent briller, et c’est encore plus vrai pour l’équipe de France de basketball, qui n’a toujours pas remporté l’or sur la scène mondiale.
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C’est depuis l’arrivée de Vincent Collet à la tête de l’équipe, en 2009, que l’équipe de France a renoué avec la victoire. Hasard ? L’histoire de Nicolas Batum en bleu commence la même année. Presque quinze ans plus tard, il s’apprête à disputer sa quatrième Coupe du monde, la deuxième avec le brassard de capitaine. Unique joueur français à avoir réalisé cet exploit, il s’est confié sur le sujet pour le média BeBasket.
Dans cette interview, il revient, année après année, sur ses participations aux différentes Coupes du monde, avec de plus ou moins bons souvenirs, de la médaille de 2014 à l’arrivée d’une nouvelle génération en 2019. Pour 2023, le maître-mot ? “L’idée est de bien finir, […] ce sera clairement ma dernière Coupe du monde.”
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En effet, sacré parcours à venir pour l’équipe de France, et ça commence dès vendredi avec le Canada. Ces dernières années, l’équipe d’Amérique du Nord s’est étoffée, notamment avec l’arrivée de Shai Gilgeous-Alexander. L’arrière du Thunder d’Oklahoma a terminé la saison NBA en étant quatrième meilleur scoreur, avec 31,4 points de moyenne. Sans oublier R. J. Barrett, ailier star des Knicks de New York. Mais si on en croit notre capitaine, ça devrait bien se passer :
“Au-delà de ça, vu l’effort, le travail mis en place et la cohésion de groupe, nous sommes clairement prêts à attaquer cette compétition de la meilleure des manières. Nous sommes dans de très bonnes dispositions collectives”, confie-t-il dans la fameuse interview.
