Spoiler : il y a du pipi partout (pas littéralement hein, mais presque).
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Si vous avez passé la semaine dernière loin des écrans, vous êtes peut-être passé à côté de l’histoire concernant BuzzFeed, un rapport polémique et non vérifié de 35 pages (racontant notamment l’existence d’une sex tape de Donald Trump et de prostituées s’urinant dessus) dont les informations auraient été détenues par les autorités russes. L’affaire éclabousse (lol) le nouveau président américain, qui a décidé, en réponse, de faire une conférence de presse pour répondre aux allégations et à d’autres points.
En résulte une heure un peu surréaliste, entre des attaques directes contre CNN et BuzzFeed, la présence d’une table et de plusieurs piles de papiers censées être des documents officiels, en réponse aux golden showers. Forcément, le Saturday Night Live et Alec Baldwin (qui campe depuis plusieurs mois Trump dans l’émission hebdomadaire) ne pouvait passer à côté et, sans surprise, le résultat est grandiose.
Alec Baldwin et la “pee-pee tape”
En 8 minutes, le sketch satirique se moque des artistes qui vont jouer à la cérémonie d’investiture de Trump (notamment 3 Doors Down), mais aussi de la venue de Steve Harvey à la Trump Tower, de l’intervention de l’avocate de Trump, des fils Trump comparés ici à Beavis et Butt-Head, et des attaques du président élu envers BuzzFeed et Meryl Streep.
Mais le plus drôle est probablement la présence en filigrane, tout le long du segment, des références aux golden showers, que ce soit par la présence de Vladimir Poutine parmi les journalistes, faisant du chantage, aux jeux de mots incessants sur le pipi. Mention spéciale au “Who’s in ? You’re in ? You’re in ? Urine ? Urine ?“.
Sans surprise, le principal intéressé, qui avait déjà tweeté à plusieurs reprises son désamour envers le SNL, a utilisé le réseau social pour donner son avis sur la prestation.
Chargement du twitt...
Comme le dit si bien ce faux Donald Trump, répondant à une question concernant la suppression de l’Obamacare et du danger que cela représente : “Écoute mon ange, je vais bientôt devenir président. On va tous mourir !”