“Sur la base de ses tests cardiaques, il est indiscutable qu’il est dans une excellente catégorie.”
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Donald Trump serait ainsi débordant “d’énergie”, très “endurant” et aurait des “gènes extraordinaires”, selon les termes choisis par le docteur Jackson et rapportés par Libération.
Rien à signaler donc, si ce n’est ce léger problème de surpoids, sur lequel il s’est engagé à travailler : il souhaiterait perdre 4 à 7 kilos dans l’année qui vient. Mais que ses admirateurs se rassurent, son “excellente santé” lui permettra de rempiler sans aucun problème pour un second mandat…
“Aucun signe d’un quelconque problème cognitif”
En plus de tests physiques, Donald Trump a passé un test cognitif, à sa demande, et ne présente “aucun signe d’un quelconque problème cognitif”. Ce dernier aura très certainement fini par s’agacer de la polémique autour de sa santé mentale. Dans un ouvrage publié début janvier, le journaliste Michael Wolff mettait clairement en doute sa capacité à gouverner.
Le 45e président des États-Unis a passé le Montreal Cognitive Assessment (ou MoCA), comme le rapporte Le Monde. Mais ce test permet simplement de déceler une déficience cognitive légère ou les prémisses de la maladie d’Alzheimer. Ainsi, Trump a obtenu le score maximal – 30/30 –, mais “le MoCA n’a […] pas été conçu pour évaluer la personnalité et les capacités de prise de décision, et n’est destiné qu’à détecter les cas de démence”.
Ce test d’une durée d’une dizaine de minutes est composé d’un court questionnaire d’une page, afin d’évaluer la mémoire, les fonctions exécutives, les capacités d’abstraction, la concentration, le langage, le calcul, l’orientation dans le temps et l’espace.
Copier un cube, dessiner une horloge avec une heure précise, reconnaître trois animaux, répéter une liste de mots, exécuter des soustractions… Loin de tester la capacité de discernement du sujet, ce test sert avant tout à repérer les cas de démence.
“Le président a un esprit très vif, intact”, il n’a “aucun signe d’Alzheimer ou d’autre maladie”, a conclu le médecin de la Maison Blanche, éludant toutefois les questions des journalistes relatives au mode de vie du président, par exemple sur le nombre d’heures qu’il passe devant la télévision.
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