Presque célèbres : ces rappeurs US au passé graphique difficile

Presque célèbres : ces rappeurs US au passé graphique difficile

Ils sont aujourd’hui sous la lumière, se la jouent gangsta et jouissent d’une image de pontes dans le rap jeu. Mais hier, qu’étaient-ils et que faisaient-ils ? Retour sur le passé compliqué de certains MCs dont l’esthétique des premiers projets laissait foncièrement à désirer.
Tout le monde fait des erreurs. Y compris les rappeurs qui débutent. Ils ont beau évoluer, renier leur passé en essayant de brûler de vieux dossiers, les preuves de leurs premiers balbutiements dans le game restent indélébiles. Et avec l’Océan nommé Internet, tout peut remonter à la surface.
Il est intéressant – et drôle – de voir ce qu’étaient certains rappeurs avant qu’ils ne percent. L’époque où ils avaient un style plus qu’approximatif. L’époque où ils étaient leurs propres designers graphiques. L’époque où ils ne faisaient pas très attention à leur image. Heureusement, la cover ne fait pas le rappeur.

À voir aussi sur Konbini

Kendrick Lamar (2005)

Mac Miller (2007)

I’m the fuckin’ greatest.

Jay-Z (1989)

Nas, the alleged ring leader, is furious at 2Pac. Excuse me, Makaveli’s verbal assault on Mobb Sleep. Notorious P.I.G., and several other New-York rappers. Jay-Z, from “Hawaiian Sophie” fame, Big Little whatever.

Eminem (1997)

Tyga (2003)

YG (2008)