Une ville anglaise va proposer des tests aux clubbers pour vérifier la composition de la drogue

Publié le par Louis Josse,

Le Loup de Wall Street © Paramount Pictures

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L’idée n’est pourtant pas si neuve que ça : développée à Amsterdam par le Néerlandais August de Loor, on retrouvait dès 1975 une clinique testant la composition des drogues pour quiconque le désirait. La consommation de drogues étant un fait, August De Loor avait alors misé sur la prévention et la réduction des risques (détection de faux, distribution de seringues stérilisées, etc.). Non sans opposants, la clinique s’est pourtant avérée d’utilité publique face à la “popularisation” de drogues dures, de l’ecstasy à l’héroïne. Depuis, ces analyses chimiques sont de plus en plus courantes lors de festivals, aux Pays-Bas ou au Royaume-Uni dernièrement.
Reste donc à savoir les conditions exactes et le déroulement de ces tests gratuits, qui sont encore à l’état de projet. The Independant avance ainsi un anonymat garanti et l’absence de poursuites pour les individus se rendant sur les stands en question.

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