Name: “On est là jusqu’à la fin de notre vie” : le désespoir de locataires vivant dans l’insalubrité au 48, rue de Meaux, à Paris
Uploaded: 2022-08-12T08:38:17
Duration: 3 min 20 s
Description: Une douche pour cinq étages et pas d’eau chaude : voici la réalité des logements précaires de Paris. Au 48, rue de Meaux, les résidents, retraités pour la plupart, survivent dans des conditions insalubres, pour 550 euros par mois, faute de logement social.

Tess, créatrice de contenu, nous parle de sa transition de genre

Pourquoi les vidéos TikTok sur les pickpockets sont problématiques ?

Violence, accaparement de terres et corruption… H&M et Zara accusés de “crimes de mode”

Sexisme : c’est quoi, le manterrupting ?

Pourquoi les chiens penchent-ils la tête quand on leur parle ?

Konbini, c’est aussi des reportages inédits sur des sujets de société ou de pop culture.&nbsp;

Reportage

Anaïs Werestchack, médecin généraliste et ancienne Miss Auvergne, a pris la route à bord de son van pour un "tour de France des déserts médicaux". Avec Brice Philippon, son compagnon kinésithérapeute, ils viennent en aide aux praticiens qui ont du mal à trouver des remplaçants. On les a suivis.

Médecins itinérants : ils font un “tour de France des déserts médicaux”

Et si on transformait le plastique en protéines ? Pavels Hedström est un designer du futur. Il a par exemple créé une veste qui collecte la buée et permet d’être autosuffisant dans des environnements difficiles💧🏜. C’est une manière pour lui de créer une alternative à nos modes de vie et de combattre l’éco-anxiété par l’action.

Ce designer du futur veut transformer le plastique en protéines comestibles

Depuis 2005, le Danemark lutte activement contre le harcèlement scolaire. Dans les programmes des tout-petits, le Fri For Mobberi, et pour les plus grands, des cellules de prévention et d’écoute.

On est allés à l’école française Prins Henrik de Copenhague à la rencontre des enseignants qui utilisent des méthodes innovantes, de la petite section à la terminale.

Cours d’empathie à l’école : la méthode danoise contre le harcèlement scolaire

[dm-player videoid="x8pl7bu"]

Et si la solution la plus écologique pour nos funérailles était… le compost ?

C’est en tout cas l’idée des membres de la fondation belge Métamorphose, qu’ils défendent corps et âme depuis une quinzaine d’années.

Le principe est simple. Comme dans un compost classique, les micro-organismes des 20 premiers centimètres du sol s’occupent de la décomposition d’un corps, posé dans une butte de matières végétales. Le processus de décomposition chauffe la butte et, grâce à un arrosage hebdomadaire, la température reste élevée dans le talus. Au bout de six mois, il faut broyer les os désormais débarrassés de leurs chairs molles. Au bout d’un an, il ne reste que du humus, sorte de terreau fertile, qui peut servir à enrichir les sols.

À l’origine, l’idée a été testée au fond d’un jardin, dans un bac à compost. Le résultat étant prometteur, les membres du collectif se sont mis à tester de plus en plus de techniques, et au fur à mesure des années, ils ont réussi à faire grandir le projet.

Depuis un an, un terrain dans les Ardennes belges a été alloué à des expérimentations sur des dépouilles porcines, en toute légalité.

La prochaine étape est de pouvoir tester ces techniques sur des "humains consentants". Pour le moment, ces demandes leur ont toujours été refusées.

Humusation : et si on se mettait à composter les corps humains ?

[dm-player videoid="x8pdu33"]

Comment gérer au quotidien lorsque l’on est envahi de pulsions sexuelles déviantes ? Comment réagir quand un membre de sa famille est coupable d’agression sexuelle ? Que faire lorsqu’on a des doutes sur la notion du consentement ?

Pour tenter d’apporter soutien et aide à ceux qui en ressentent le besoin, un service d’écoute inédit a été mis en place il y a deux ans en Belgique : le SéOS.

Le Service d’écoute et d’orientation spécialisé est destiné à celles et ceux qui n’ont jamais trouvé un endroit où aborder l’indicible. Inceste, fantasmes sur un membre de la famille, consultations de "matériel pédopornographique" : toutes les thématiques peuvent y être abordées, gratuitement et anonymement, avec des professionnels expérimentés.

Plusieurs fois par semaine, ils sont huit psychologues, sexologues et criminologues à répondre de manière "bienveillante" au téléphone, sur un mail dédié et un tchat.

Parmi eux, Marie-Hélène Plaëte, coordonnatrice du service. Pour cette psychologue, "aider les auteurs, c’est éviter des victimes potentielles". Il n’est donc pas question, pour elle, d’opposer aide aux victimes et écoute des auteurs. Il faut simplement développer les deux volets, de prévention et de prise en charge, pour permettre une diminution des violences.

Financé en partie par le gouvernement belge, dans le cadre de la prévention des violences faites aux femmes, le SéOS reçoit de plus en plus de sollicitations depuis sa création.

En France, le service d’écoute STOP permet aux auteurs, victimes et proches dans le cas fantasmes sur les enfants de trouver de l’aide. Le service est joignable au 0 806 23 10 63 ou sur leur site (non surtaxé et confidentiel).

En Belgique, le SéOS permet d’aider auteurs, victimes et proches lors de fantasmes sexuels déviants, quels qu’ils soient. Le service est joignable au 0800 200 99 ou sur leur site (non surtaxé et confidentiel).

Fantasmes sexuels déviants et comportements inadéquats : une journée au service d’écoute SéOS

On est allés à la manif contre l’autoroute A69 entre Toulouse et Castres. Près de 10 000 personnes ont protesté contre ce désastre écologique qu’ils considèrent comme un "viol" de la nature.

Catastrophe écologique : on est allés à la manif contre l’autoroute A69

Les Coqs festifs est le premier club de rugby LGBT+ qui sensibilise à la lutte contre les LGBTphobies depuis 2006. En pleine Coupe du monde de rugby, on est allés à la rencontre de ce club pas comme les autres qui prône l’inclusivité !

24 heures d’entraînement avec les Coqs festifs, club de rugby inclusif LGBT+

À l’occasion de la seconde édition du Rose Festival, Bigflo et Oli se sont emparés de la bonnette de Konbini, l’ont taguée en rose à l’arrache, et nous ont emmenés dans les coulisses de leur festival toulousain !

Bigflo et Oli nous montrent TOUTES les coulisses du Rose Festival

lls ont de 60 à 95 ans, et ce soir, ils vont faire la fête en boîte de nuit à Bruxelles. On vous emmène avec l’Ehpad des Acacias faire la fête jusqu’au bout de la nuit ! Le but de ce genre d’activités : casser la routine et rompre l’isolement des personnes âgées.

On est allés en boîte de nuit avec les résidents d’un Ehpad

Une douche pour cinq étages et pas d’eau chaude : voici la réalité des logements précaires de Paris. Au 48, rue de Meaux, les résidents, retraités pour la plupart, survivent dans des conditions insalubres, pour 550 euros par mois, faute de logement social.

“On est là jusqu’à la fin de notre vie” : le désespoir de locataires vivant dans l’insalubrité au 48, rue de Meaux, à Paris

https://www.konbini.com/videos/on-est-la-jusqua-la-fin-de-notre-vie-le-desespoir-de-locataires-vivant-dans-linsalubrite-au-48-rue-de-meaux-a-paris/

“On est là jusqu’à la fin de notre vie” : le désespoir de locataires vivant dans l’insalubrité au 48, rue de Meaux, à Paris

Nos autres vidéos Reportage