Après une dizaine de jours de compétition, et avant les huitièmes de finale, un petit bilan du début de l’Euro 2016 s’impose. Retour sur les faits les plus marquants.
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Le plus beau but
Évidemment, difficile de ne pas retenir le but décisif de Dimitri Payet à la 88ème minute du match d’ouverture face à la Roumanie. Sans faire preuve de chauvinisme, l’exploit du Réunionnais est en tout point exceptionnel et a fait de Payet le taulier inattendu de l’Équipe de France.
#Euro2016 Ce commentateur sud-américain vibre sur le but de #Payet contre la Roumanie ► https://t.co/PCkdxSjcQw
— Téléfoot (@telefoot_TF1) 13 juin 2016
Le plus beau match
Si on doit choisir un match mémorable, le nul sur le score de 3-3 entre la Hongrie et le Portugal est en très bonne position. Les Magyars ont mené trois fois au score, mais Nani et Cristiano Ronaldo (doublé) ont permis au Portugal de se qualifier pour les huitièmes de finale au bout du suspense. Superbe.
[RÉSUME VIDÉO] Match fou entre la Hongrie et le Portugal ! #HUNPOR #beINEURO https://t.co/h1c2yfDYV8
— beIN SPORTS (@beinsports_FR) 22 juin 2016
Les meilleurs supporters
Sans surprise, les Nord-Irlandais remportent la palme haut la main. Le chant Will Grigg’s on Fire tourne en boucle depuis des jours, et il est devenu le tube de l’été. Il rend hommage au buteur Will Grigg, qui n’est que remplaçant. On peine à imaginer ce qui arriverait s’il marque face au Pays de Galles en huitièmes…
#NIR pic.twitter.com/1YeK3l7nMB
— Will Grigg's On Fire (@WillGriggFire) 21 juin 2016
Mention spéciale au voisin irlandais, qui nous a aussi régalé pendant ces 10 jours. Chapeau.
Le meilleur joueur
Andrés Iniesta. Clair, net et sans bavure. Don Andrés est dans la forme de sa vie, et nous rappelle l’esthète qu’il était lors de la Coupe du Monde 2010. Durant les trois matches de la Roja, le catalan nous a régalé par ses dribbles, ses transmissions et sa vision de jeu. Élu à deux reprises homme du match, l’Espagnol fait d’ailleurs partie du XI type des phases de poules dévoilé par Opta.
11 - Découvrez le XI de la phase de poules de l'#EURO2016 basé sur les stats Opta. Sélection. pic.twitter.com/NG0sFZLGyz
— OptaJean (@OptaJean) 23 juin 2016
L’image marquante
Encore une fois on va être chauvin, mais comment passer à côté des larmes de Dimitri Payet ? Après son but face à la Roumanie, le Réunionnais a complètement craqué lors de sa sortie, et a fait pleurer 60 millions de supporters français (au moins). On a encore la chair de poule.
Quand je revois les larmes de Dimitri j'ai des payet pleins les yeux merci a vous #AllezLesBleus #EURO2016 pic.twitter.com/7rRPS9ZDuu
— Romain Martin (@newsmusik2011) 13 juin 2016
La déception
Là-dessus aucun débat : il s’agit des pelouses. Celles de Lille, Nice et Marseille ont été plus critiquées que Ramsay Snow de Game of Thrones. C’est dire l’exploit…
La pelouse du stade de Lille pour le match de demain...quelle honte #ItaliaIrlanda pic.twitter.com/hkGcPiIR34
— Juventus France (@Juve_France) 21 juin 2016