Chaque Français se rappelle de ce qu’il faisait le 12 juillet 1998. La plupart avaient les yeux rivés sur la finale opposant la France et le Brésil, alors que d’autres ont loupé ce moment d’histoire à cause d’un événement majeur : la naissance de leur enfant.
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C’est pourquoi McDonald’s a voulu savoir comment les parents ont vécu ce jour si particulier, et comment leur progéniture ressent cette symbolique. En cadeau : des places ont été offertes pour la finale de l’Euro 2016, afin de les faire profiter au mieux d’un autre moment d’histoire.
Maël, l’apprenti footballeur
200 enfants sont nés le 12 juillet 1998. Parmi eux un certain Maël, un jeune qui rêve de devenir footballeur professionnel. Pour lui, être né le jour de la finale de 98 est une chance dont il est très fier.
Été 98 : les parents suivent tranquillement le parcours des Bleus, quand Maël s’invite au dernier moment, le jour de la finale. Alors que sa femme est en salle d’accouchement, le père du garçon a toujours les yeux scotchés sur l’écran diffusant cette finale mythique.
Après le troisième but, il rejoint sa femme toute proche d’accoucher. Anecdote amusante : selon son carnet de santé, Maël est né à 23h14, au moment précis où Didier Deschamps soulevait la coupe.
Yuna ou la maturité incarnée
Pour Yuna, naître à cette date est également une fierté. Ses parents essayent d’avoir un second enfant depuis 4 ans, lorsqu’elle arrive en ce jour magique. Son père réussi à vivre l’importance de l’événement, tant le calme règne dans les rues. Tout le contraire de l’excitation qu’il vit avec les premiers cris de sa fille.
Valentin, béni par Lilian Thuram
Comme les deux autres, Valentin est venu à l’improviste. La veille, alors que son père fête la fin de la petite finale entre la Croatie et les Pays-Bas, sa mère tente de joindre son mari, qui ne répond qu’à la 22ème sonnerie ! Fin heureuse : tout le monde réussi à regarder la finale, même la nouvelle maman.
Valentin est lui aussi un fan inconditionnel de football. Ses parents ont poussé le mythe autour de sa naissance, jusqu’à lui donner comme deuxième prénom “Lilian” en l’honneur de Thuram et de son doublé face à la Croatie.
Une réunion pleine d’émotion
Ce 10 juillet 2016 lors de la tant attendue finale, ces trois enfants ont pu se rencontrer, eux qui partagent le même lien fort avec la finale de 98. Même la défaite de la France face au Portugal n’a pu gâcher le bonheur d’avoir pu assister à ce match.