Le grand n’importe quoi des réseaux sociaux, spécial Leipzig-PSG

Le grand n’importe quoi des réseaux sociaux, spécial Leipzig-PSG

"L’été en général je suis au tournoi des fratés et franchement je vois aucune différence avec le niveau de cette LDC."

Déjà dans les mémoires, l’épopée européenne du PSG n’est pas encore terminée : le club parisien s’est qualifié pour la première finale de Ligue des champions de son histoire, après sa victoire contre Leipzig (3-0) mardi à Lisbonne, avec la légitime ambition d’aller au bout. 
Incapable de trouver la solution face au pressing parisien, Leipzig a multiplié les pertes de balles dans son camp. Comme si l’entraîneur Julian Nagelsmann (33 ans) avait été incapable de répondre au défi tactique de son ancien maître Thomas Tuchel, l’homme qui l’a poussé à devenir coach à l’âge de 20 ans.







Côté parisien, avec les retours dans le onze de départ du prodige français et d’Angel Di Maria, suspendu contre Bergame, Thomas Tuchel a enfin pu articuler son attaque autour de Neymar. Bien décidé à rendre fou ses adversaires avec ses dribbles insaisissables, malgré les cris rageurs du banc adverse à chaque intervention défensive musclée, le Brésilien a réussi à se procurer un nombre incalculable de fautes.

C’est sur un coup franc qu’il a provoqué qu’Angel Di Maria a délivré un centre parfait pour Marquinhos, auteur d’une tête imparable pour ouvrir le score (1-0, 13e).

Di Maria, parfaitement servi dans la surface par une talonnade acrobatique de Neymar, est venu sanctionner l’erreur de relance de Gulasci juste avant la mi-temps (2-0, 42e).


Le but du 3-0 aurait pu avoir lieu dans la foulée si “Ney” avait mieux cadré son tir après le centre en retrait de Mbappé (45e). Il sera l’oeuvre de Juan Bernat, oublié par la défense, dès le retour des vestiaires (3-0, 56e). 



C’est fait : le PSG est en finale de Ligue des Champions, les supporters exultent et vont même fêter ça sur les Champs. 











Avec AFP

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