Le grand n’importe quoi des réseaux sociaux, spécial Besiktas-OL

Le grand n’importe quoi des réseaux sociaux, spécial Besiktas-OL

Le golazo d’Alexandre Lacazette, la partidazo de Jérémy Morel et le crackito Anthony Lopes : retour sur ce Besiktas – OL sur les réseaux sociaux. 
Jeudi soir, l’OL se déplaçait dans l’enfer d’Istanbul pour y défier le Besiktas. Un quart de finale retour bouillant après un match aller pour le moins mouvementé, qui a coûté une exclusion de 2 ans avec sursis de toutes compétitions européennes aux deux clubs. Pas le droit à la moindre boulette donc désormais.




Le match commence difficilement pour l’OL. À la 27e minute de jeu, Talisca ouvre le score pour le Besiktas, et qualifie provisoirement les Turcs. Mais l’euphorie ne dure pas longtemps. Sept minutes plus tard, Lacazette profite d’un superbe service de Gonalons pour égaliser. Tout est relancé.



Après la pause, l’OL continue sa domination mais encaisse un but en contre à l’heure de jeu, une nouvelle fois par l’intermédiaire de Talisca. Crack.




Buteur au match aller, Jérémy Morel est une nouvelle fois au niveau aujourd’hui. Le latéral lyonnais est partout, et fait passer une soirée compliquée à Quaresma. Quel homme.




Fin des 90 minutes, durant lesquelles les deux équipes ont également trouvé le poteau. Score de parité : les deux équipes filent en prolongation. Et la première surprise, c’est la sortie sur blessure de Lacazette, remplacé par Ghezzal.


La prolongation est intense, mais les deux équipes n’arrivent pas à trouver la faille. Vous connaissez le chemin : direction l’impitoyable séance de tirs au but.


Les tireurs sont appliqués et les buts s’enchaînent, jusqu’à ce qu’Anthony Lopes détourne la 7e tentative du Besiktas. Christophe Jallet s’élance pour donner la victoire à l’OL… et envoie le ballon bien au-dessus de la barre.


Heureusement pour Lyon, Anthony Lopes sort la 8e tentative du Besiktas et Maxime Gonalons a une nouvelle chance d’envoyer l’OL en demi-finale. Le capitaine lyonnais ne tremble pas, et délivre les hommes de Bruno Génésio.





Coup de chapeau au gardien lyonnais, impérial durant ce match.




Qualification, et donc grosses scènes de joie dans (et en dehors) du vestiaire lyonnais.


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