Bella et Gigi Hadid, Andrew Garfield, Ilana Glazer et Dua Lipa demandent à Joe Biden un cessez-le-feu à Gaza

Bella et Gigi Hadid, Andrew Garfield, Ilana Glazer et Dua Lipa demandent à Joe Biden un cessez-le-feu à Gaza

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© David M. Benett/Dave Benett/Getty Images for Fashion Trust Arabia

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Par Lise Lanot

Publié le , modifié le

Plus de 200 personnalités états-uniennes, de toute origine et confession, se sont réunies pour lancer un appel à leur président Joe Biden.

Face au vote contre des États-Unis à l’appel d’une trêve humanitaire immédiate de la communauté internationale réunie en Assemblée générale à l’ONU ce vendredi 27 octobre, une longue liste d’artistes s’est de nouveau rassemblée afin d’appeler au cessez-le-feu. Sur leurs réseaux sociaux et le site dédié Artists4CeaseFire, les artistes s’adressent directement au président Joe Biden, demandant “une désescalade et un cessez-le-feu à Gaza et dans l’État d’Israël avant qu’une autre vie ne soit perdue” et rappelant “condamner les meurtres des civil·e·s palestinien·e·s et israélien·e·s”.

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Une première cinquantaine d’artistes s’était réunie le 20 octobre dernier pour Artists4CeaseFire. De nouveaux noms se sont ajoutés à leur liste suite aux violents bombardements israéliens débutés ce vendredi 27 octobre. On y retrouve des célébrités ayant fait carrière aux États-Unis, de toute origine et de toute confession, à l’instar de Bella et Gigi Hadid, Andrew Garfield, Ilana Glazer, Aminé, Joaquin Phoenix, Channing Tatum, Diplo ou encore Dua Lipa. De nombreux autres collectifs de la sorte amplifient ce genre de messages sur les réseaux sociaux à l’instar d’Artists for Palestine UK ou Jewish Voice For Peace.

La résolution non contraignante de l’ONU, avait été “fustigée par l’État d’Israël et les États-Unis” qui dénonçaient “l’absence de mention du Hamas”. Elle avait recueilli “sous les applaudissements 120 votes pour, 14 contre, et 45 abstentions, sur les 193 membres de l’ONU”, notait l’AFP vendredi soir. “Le président états-unien Joe Biden a mis mercredi l’État d’Israël hors de cause, après la frappe meurtrière contre un hôpital à Gaza qui a soulevé un vent de révolte au Moyen-Orient, et obtenu de son allié meurtri par une attaque sans précédent un feu vert pour l’aide humanitaire à Gaza”, ajoutait l’AFP.