C’est désormais officiel : il existe un lien direct entre le sexe, la drogue et le rock n’roll. On s’en doutait un peu mais des chercheurs néerlandais nous le confirment après avoir étudié un échantillon de 944 étudiants âgés de 15 à 25 ans : la musique forte, la weed et le sexe sans capote s’associent parfaitement.
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Publiée dans le Journal Officiel de l’Académie Américaine de Pédiatrie, cette étude révèle que les jeunes qui écoutent fort de la musique sur leur lecteur MP3 ont de fortes chances d’avoir tiré sur un joint au cours du mois dernier. Ceux qui fréquentent le plus souvent des salles de concert sont deux fois plus nombreux à ne pas avoir utilisé de moyens contraceptifs. Ils sont également 6 fois plus concernés par le binge drinking.
L’étude va de paire avec la parution dans le quotidien britannique The Guardian d’une infographie data répertoriant les différents types de drogues utilisées en festival. On apprend ainsi que l’on consomme principalement de la cocaïne et de l’ecstasy sur l’île de Wight, qu’à Glastonbury, la Kétamine est en plein boom, et que l’ecstasy tient le haut du pavé au Bestival. De la donnée policière qui confirme les hypothèses scientifiques.