On connaît enfin le visage des héroïnes de l’adaptation en live action de Cat’s Eyes

Signé Cat's Eyes

On connaît enfin le visage des héroïnes de l’adaptation en live action de Cat’s Eyes

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Par Delphine Rivet

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TF1 a dévoilé à Ouest France les noms des trois actrices qui vont incarner le trio de voleuses dans la version française en chair et en os de l’anime culte.

Tandis que le tournage de l’adaptation en live action de Cat’s Eyes est imminent, TF1 a révélé à nos confrères de Ouest France, le nom des trois actrices qui allaient incarner les célèbres voleuses. La première chaîne, qui a confié la réalisation de cette série à Alexandre Laurent, à qui l’on doit notamment Les Combattantes et Le Bazar de la Charité, a misé sur des actrices “maison”.

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Camille Lou, que l’on a pu voir dans Je te promets, campera Alexia, Claire Romain, qui était à l’affiche d’Ici tout commence, sera Tam, la plus jeune des trois sœurs, et enfin Constance Labbé, qui était aux côtés de Tomer Sisley dans Balthazar, interprétera Sylia, l’aînée. On ignore encore qui jouera l’inspecteur Quentin Chapuis, qui traque les Cat’s Eyes sans savoir que l’une d’entre elles n’est autre que Tam, son amoureuse.

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L’écriture de la série et de ses 8 épisodes de 52 minutes est entre les mains d’une équipe de scénaristes composée de Michel Catz, Justine Kim-Gautier, Antonin Martin-Hilbert, Anne-Charlotte Kassab, Coline Dussaud et Audrey Gagneux. “Ce sera sans doute une des séries les plus chères qu’on produira l’année prochaine avec des budgets de production extrêmement importants. Mais c’est pour pouvoir rendre justice à cette franchise qui est très prestigieuse”, a confié Ara Aprikian, le Directeur général adjoint contenus du groupe TF1, à Ouest France.

À l’origine, Cat’s Eyes était un manga de Tsukasa Hôjô publié de 1981 à 1985, avant de devenir une série animée cultissime qui a conquis la France dans les années 1980. Elle raconte les aventures de trois sœurs qui tiennent un café le jour et se transforment en agiles voleuses la nuit. Mais attention, elles ne font que reprendre ce qui leur est dû : des œuvres qui appartenaient à leur père disparu.

Dans cette version modernisée et en chair et en os, les sœurs se retrouveront après avoir été séparées. Leur père a disparu dix ans plus tôt dans l’incendie de sa galerie d’art et une œuvre lui ayant appartenu refait mystérieusement surface lors d’une exposition à la tour Eiffel. Cette première saison marquera aussi une nouvelle collaboration entre TF1 et une plateforme de streaming, comme précédemment avec Netflix pour Le Bazar de la charité. Cette fois-ci, la Une signe un partenariat avec Prime Video, qui proposera donc la série en deuxième fenêtre de diffusion.