Les 13 moments où Jonathan Cohen nous a fait (beaucoup) rire

Les 13 moments où Jonathan Cohen nous a fait (beaucoup) rire

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Par Robin Panfili

Publié le

On a trouvé le moyen de rire un peu dans ces temps moroses.

Si la période actuelle ne prête pas forcément à sourire, la rédaction de Konbini a eu une idée : trouver des choses qui vous redonneront le smile, au moins le temps d’un article. Après les extraits de lives de Pierre Niney pendant le confinement qui refont surface, on a décidé de compiler pour vous les moments les plus rigolos que nous a offerts Jonathan Cohen au cours de sa carrière d’acteur, de réalisateur, de policier fictif et même de comédien de doublage… pour animaux.

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Fuckin’ Fred

Durant sa tournée de festivals, Orelsan s’était amusé à inviter plusieurs personnes au fil de ses concerts. Parmi elles, Jonathan Cohen qui ne savait pas vraiment ce qu’il faisait là, à Estavayer-le-Lac. Alors après avoir tenté de trouver un sens à son existence sa présence sur le festival, il s’est transformé en Fuckin’ Fred, un artiste fantasque germano-brésilien.

Et puisque la mayonnaise avait particulièrement bien pris, Jonathan Cohen s’était même lancé dans un live, grandeur nature, lors d’un Bercy d’Orelsan. Et cette fois, il s’est bien souvenu des paroles de son tube désormais célèbre, “S*** ma b***”.

Le policier

Sans que l’on comprenne vraiment pourquoi, des petites vidéos – capturées à l’iPhone et dans un amateurisme le plus total – dans lesquelles Jonathan Cohen incarne un faux policier-détective ont inondé l’Internet français. Des petites blagues entre copains devenues virales et, avec le temps, des briques essentielles de son personnage comique que l’on connaît désormais.

Le mytho

La série Bloqués a dévoilé au grand jour le personnage de Serge le Mytho, avant que ce dernier ait droit à sa propre série. Un personnage mi-lourd, mi-attachant, hanté par ses propres névroses et bercé par ses propres mensonges. Un réservoir de vannes presque illimité que l’on a déjà presque oubliées… et que l’on peut donc rattraper comme si c’était la première fois.

Le (faux) dealer

Dans la série Family Business, Jonathan Cohen campe le rôle de Joseph, un type un peu maladroit embarqué malgré lui (ou presque) dans un trafic de cannabis. En trois saisons, il a enchaîné les bêtises et les sorties de route, pour notre plus grand bonheur.

Le kebabier

C’est une scène peu connue, mais légendaire. Dans le film 16 ans ou presque, avec Laurent Lafitte, Jonathan Cohen se mue en kebabier. On ne vous en dit pas plus : l’extrait parle pour lui-même.

Le comédien de doublage… de chiens

Ce n’est pas son rôle le plus connu, et c’est bien dommage. Dans la série France Kbek, qui met en scène une jeune femme québécoise débarquée pour relancer sa vie en France tout en cachant ses origines, Jonathan Cohen – qui a cocréé la série avec Jérémie Galan – se livre à une longue liste de performances, notamment le doublage de chiens mafieux. Oui, vous avez bien lu.

Le détective

Le Jeu de l’imposteur de Squeezie est désormais connu de tous, mais avant d’exploser, il a commencé en fanfare avec un casting rêvé : Mister V et Jonathan Cohen. C’est d’ailleurs probablement la force de ce duo qui a permis au format de trouver le succès qu’il rencontre aujourd’hui. Car même lorsqu’il n’arrive pas à mentir, Jonathan Cohen reste incroyablement drôle.

Le beau-père relou

Dans le film Papa ou Maman 2, Jonathan Cohen livre une performance très réussie en incarnant un quadra imbuvable et un peu trop sûr de lui. Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de voir le film, foncez, les yeux fermés.

Le rabbin

Le film Coexister est un petit bijou de sarcasme. Jonathan Cohen y joue le rôle d’un rabbin égaré, qui retrouve son chemin grâce à la chanson et la célébrité. Enfin, presque.

Le candidat de téléréalité

Dans La Flamme, le personnage joué par Jonathan Cohen se retrouve médusé face à une tradition dont il n’avait encore jamais entendu parler : la Jean Guile. Une fête fictive, un poil problématique, durant laquelle on doit beurrer ses tartines, mais ne surtout pas applaudir. Aucun sens, certes, mais une pépite de comédie.

Le parodieur

Pour la promotion de sa série La Flamme, Jonathan Cohen s’était essayé à un exercice encore inédite pour lui : la parodie de publicités. Il s’était alors attaqué à des grands classiques des spots télévisés français : L’Oréal, Meetic ou Seat.

Bonus : le retour de Fuckin’ Fred

En plein confinement, alors qu’il enchaînait les lives sur Instagram pour passer le temps, Jonathan Cohen avait dévoilé un nouveau titre, après son célèbre “S*** ma b***”. Le nom ? “Confinez-le”, subtile variante de son premier tube.

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