En 1987, le grand Clive Barker adaptait pour le grand écran son dernier livre, Hellraiser. Une sombre histoire de cube/puzzle qui, une fois résolue, ouvrait les portes d’une autre dimension, ramenant des démons, les “cénobites”, sur Terre. Des démons, des créatures avec des aiguilles sur le visage, et des cauchemars à foison. Le reste n’est qu’Histoire.
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35 ans et 10 films plus tard, Hellraiser est devenu une franchise culte. Même si tous les films ne sont pas bons (bel euphémisme), la figure du Pinhead trône aux côtés de Jason Voorhees, Michael Myers et autres grands noms de l’horreur. Cela fait des années que l’on ne regarde plus trop de près les films de la franchise, mais cela risque de changer.
Pour le 11e film, la Fox a décidé d’appeler un cinéaste qui commence à se faire un nom, à savoir David Bruckner (l’homme derrière l’excellent La Proie d’une ombre), pour faire un vrai reboot de la série. Histoire de mieux coller à la mode actuelle — poke, Halloween —, même si le projet date de 2006, à une époque à laquelle, au stade embryonnaire de la chose, c’était le français Pascal Laugier qui avait été approché.
Le film, logiquement nommé Hellraiser, ne nous excitait pas tant jusque-là, mais le premier teaser nous a fait changer d’avis.
Et s’il s’agissait du premier bon Hellraiser depuis plus de 20 ans ? L’espoir existe encore. Reste à savoir comment le film sera disponible en France, puisque le long-métrage sortira sur Hulu le 7 octobre prochain aux États-Unis, donc il pourrait, comme ce fut le cas pour Prey, sortir sur Disney+. On l’espère, en tout cas.
