“Imaginez un téléphone portable qui pourrait aussi envoyer des emails.” Bienvenue en 2002, année où a été commercialisé le tout premier smartphone au monde : le BlackBerry.
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Dans le film éponyme, présenté à la Berlinale et précédé d’un très bon accueil critique, le réalisateur Matt Johnson et son coscénariste Matthew Miller ont adapté pour l’écran le livre de Jacquie McNish et Sean Silcoff, Losing the Signal: The Untold Story Behind the Extraordinary Rise and Spectacular Fall of BlackBerry, et nous racontent, dans une sorte de biopic comédie dramatique hybride, le fameux “crackberry”.
Jay Baruchel et Glenn Howerton interprètent respectivement Mike Lazaridis et Jim Balsillie qui, en 1996, découvrent un réseau sans fil inexploité en Amérique du Nord qui donnera naissance au BlackBerry. Ils construiront un véritable empire, symbole de pouvoir de Wall Street à Hollywood, mais après leur folle ascension, le château de cartes s’effondrera tout aussi spectaculairement avec l’arrivée sur le marché du premier iPhone.
Prévu dans les salles américaines le 12 mai prochain, BlackBerry n’a pas encore de date de sortie en France.
