Il n’y a pas un jour qui se passe sans qu’on remercie le ciel pour les cerveaux du X/Twitter français et la régalade se poursuit aujourd’hui. C’est le twittos Melvin (@Yourboy_melvin), qu’on imagine fan de Queen B, qui a partagé sa folle théorie quant à la troisième partie de la trilogie d’albums de la superstar, initiée en 2022 avec RENAISSANCE, puis en mars dernier avec COWBOY CARTER. Si on se base dessus, après les boules disco et les Santiags, il est peut-être l’heure de sortir les bigoudènes.
À voir aussi sur Konbini
C’est en 2013 que l’association locale de généalogie Racine et Rameaux Français d’Acadie, basée dans le Morbihan, a supposé que Beyoncé aurait une ancêtre née à Bangor, à Belle-Île-en-mer, en 1774. Son nom serait Marie-Françoise Trahan, fille d’un couple d’Acadien·ne·s réfugié en Bretagne, puis émigré en Louisiane, et elle serait donc l’arrière-arrière-arrière-arrière-grand-mère de Beyoncé.
Chargement du twitt...
La blague ne s’arrête pas là et l’utilisateur nous fait rêver avec une tracklist truffée de délicieuses références à la région des kouign-amann et aux cornemuses et le reste de la Beyhive française s’est évidemment rapidement joint à la danse, avec des pépites comme “Saint-Malo has a problem “, “PURE/BUTTER” ou encore “Finistère Girl”. Le highlight de tout ça : le monde où Beyoncé et Nolwenn Leroy partagent un morceau. On y pense.
Chargement du twitt...
Chargement du twitt...
Chargement du twitt...
Plus fiable, une autre théorie circule quant à la couleur que prendra ce troisième acte, à savoir des teintes rock. Après l’électronique et la country, Beyoncé serait en effet lancée dans un projet sur le long terme, avec la volonté de revendiquer des genres musicaux aujourd’hui marqués par la ségrégation, souvent au bénéfice des artistes blanc·he·s qui se les sont réappropriés : respectivement l’électronique, la country et le rock’n’roll.
L’album COWBOY CARTER de Beyoncé est disponible partout.
