Elle a été emprisonnée, tabassée et forcée de fuir son pays pour avoir retiré son voile en public. Désormais exilée au Canada, où elle a demandé le droit d’asile, l’activiste iranienne Shaparak Shajarizadeh, qui signe La liberté n’est pas un crime aux éditions Plon, nous raconte son histoire.
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Elle revient également sur le mouvement des “mercredis blancs” en Iran, nous raconte les jours passés en prison, à l’isolement, sa grève de la faim et évoque son combat pour le droit des femmes et la libération de son avocate, Nasrin Sotoudeh, qui a été condamnée à pas moins de 38 ans de prison et 148 coups de fouet.