Leïla a été témoin d’une agression dans la rue. Lorsqu’elle a appelé la police pour la signaler, elle était loin d’imaginer qu’elle finirait en garde à vue. L’un des policiers intervenant pour l’agression a frappé Leïla, qui a ensuite été emmenée au commissariat.
Après une nuit en garde à vue, elle a appris que ce même policier avait déposé plainte pour violence volontaire sur personne dépositaire de l’autorité publique.
Leïla a ensuite été convoquée devant le tribunal correctionnel. Selon elle, sans les images de son agression, filmées par des témoins, elle aurait probablement été condamnée.
Elle revient sur ce revirement de situation incompréhensible et injuste ainsi que sur les dissimulations et les mensonges des policiers qu’elle a découverts.