Mokhtar “habite avec ses parents, qui sont âgés et ses frères et sœurs”. Il avait “peur de contaminer” sa famille. Un habitant local lui a donc généreusement proposé d’habiter dans son logement vide, le temps de l’épidémie, ce qui lui a “enlevé un poids”.
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Lauralie, étudiante infirmière, a quant à elle “été réquisitionnée” par son école dans un centre hospitalier. Problème : ce centre est “à 1 heure, 1 heure et demie de route”. En déménageant provisoirement dans un appartement prêté, elle n’est désormais plus “qu’à 5 minutes de l’hôpital” où elle va travailler.