“Dans ce téléphone, vous allez comprendre pourquoi je ne suis plus là” : le 1er mai dernier, Juliette, 15 ans, a décidé de mettre fin à ses jours. La jeune femme, qui comptait près de 50 000 abonnés sur Instagram, était victime de cyberharcèlement.
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Cinq mois après avoir perdu sa fille, Alexandra Joris Bouvier, qui a créé l’association RESPECT’Moi #UneviepourJuliette, souhaite alerter et sensibiliser sur cette forme de violence qui touche un jeune sur cinq. “Juliette ne reviendra jamais, mais j’aimerais que son départ serve à quelque chose”, nous confie-t-elle.
Pour rappel, le cyberharcèlement est un délit passible d’une peine de trois ans de prison et de 45 000 euros d’amende.