Top Chef – inflation, signe JuL et jambon en dessert : le grand n’importe quoi des réseaux sociaux

Cette semaine, c’est chacun pour sa pomme, mais une pomme pas reuch, voire une demi-pomme si ça négocie bien. Nos candidats vont au marché pour cuisiner entrée, plat, dessert en dépensant le moins de sous. Je ne sais pas si le maraîcher va plus tirer la tronche pour vendre une seule échalote ou pour éditer un ticket de caisse seulement pour celle-ci.

Malgré la promesse d’être une pince, Jean se retrouve sur l’addition la plus chère des entrées avec un ticket à 8,59 euros. Léo, lui, s’en sort pour 20,91 euros sur les plats et Jérémie avec 8,46 euros sur les desserts.

Carla, Mathieu et Sarika se qualifient et tout le reste de la troupe se retrouve en épreuve éliminatoire avec un Jerôme Banctel pas commode, commode. Thème de l’épreuve : faire souffler un truc. Perso, j’aurais servi le mème d’Etchebest qui souffle en mi-cuit.

Saison 14 de Top Chef, je pense que même les spectateurs savent faire souffler un légume en coupant deux tranches à la mandoline, en les badigeonnant de blanc d’œuf et d’amidon de maïs et en les passant au froid avant de les plonger dans une huile à 180 °C. Ce que la France doit maintenant retenir : sauvons Jean at all costs, c’est le candidat de la saison. À mercredi prochain, 21 h 10 sur M6.