Selon une étude, vivre face à la mer rendrait plus heureux
Selon une étude, vivre face à la mer rendrait plus heureux

Selon une étude, vivre face à la mer rendrait plus heureux

Par Konbini avec SUNSETS

Publié le

Vivre face à la mer plutôt que face au vert rendrait plus heureux et éloignerait les signes de dépression. Faites vos bagages !

Pour notre bien-être, cette étude menée par les chercheurs de l’université de Canterbury (Nouvelle-Zélande) et du Michigan State (États-Unis) a démontré que tous les espaces non bétonnés ne se valent pas !

Les vertus de la mer

On savait déjà que vivre près de la mer avait des effets sur la santé de vos poumons et que cela pouvait aider à avoir un meilleur sommeil, tout comme une peau plus belle !

Avec les résultats de cette étude publiée en mai dernier, on sait désormais que les personnes qui bénéficient d’une vue sur un espace bleu sont plus heureux.

Logique penserez-vous en vous remémorant la dernière fois que vous vous êtes levés face à la mer.

La mer plutôt que le vert

Pour arriver à ce constat, 450 adultes résidents à Wellington ont été interrogés en prenant en compte leur niveau de vie avec une question demandant s’ils avaient une vue sur la Mer de Tasmanie ou l’Océan Pacifique ou sur un espace vert.

Alors que les espaces verts servent souvent comme toile de fond d’apaisement et de lien social dans les quartiers résidentiels et sont d’ordinaires considérés comme des lieux thérapeutiques, l’étude met en avant la puissance de la grande bleue.

L’effet de la nature sur la dépression

Or le résultat a surpris: si un lien entre la vue sur une étendue bleue et un bien-être psychologique a pu être établi, il n’y avait pas d’avantage significatifs pour ceux qui vivaient face à certains lieux verts comme des parcs ou terrains de sport… “Peut-être qu’en ne prenant en compte que les forêts naturelles, nous serions arrivés à un résultat différent”, explique Amber L.Pearson, auteure de l’étude.

Conclusion : les scientifiques aimeraient continuer leurs recherches afin de savoir si les lacs ou les fleuves produisent le même effet sur le cerveau, ce qui pourrait influencer les politiques futures d’aménagement du territoire et d’urbanisation.