Avec Valérian, Luc Besson nous promet un futur complètement déjanté
Avec Valérian, Luc Besson nous promet un futur complètement déjanté

Avec Valérian, Luc Besson nous promet un futur complètement déjanté

Par Konbini avec BNP Paribas

Publié le

Vingt ans après le Cinquième élément, le réalisateur futuriste revient avec un nouveau monde, celui de Valérian. Sera-t-il aussi novateur que son prédécesseur devenu mythique pour toute une génération?

Luc Besson a toujours habitué son public à ses retours en force dans le cinéma via un mélange décapant d’effets spéciaux et de science fiction. Après Lucy en 2014 qui décuplait les capacités cérébrales d’une jeune étudiante, Valérian et la Cité des mille planètes, libre adaptation d’une bande-dessinée française a pris plus de six ans à être transposé sur petit écran.

La démesure futuriste du Cinquième élément

La bande-dessinée Valérian et Laureline, parue dans les années 70 et vendue à plusieurs millions d’exemplaires raconte l’histoire de deux agents spatiaux chargés d’assurer la sécurité à travers un espace-temps sans limites. Dans le film de Luc Besson, ils doivent mener une enquête sur la station orbitale Alpha où se rencontrent près de 8000 espèces différentes, afin de la sauver d’une menace imminente. 

Comme son grand frère, Valérian aborde le monde du futur où les inventions se portent sur les détails. Des tenues latex et costumes extravagants au gaming du futur, le monde de Valérian regorge de richesses à la hauteur des ambitions du réalisateur. Il avait d’ailleurs déjà demandé au dessinateur de Valérian, Jean-Claude Mézières de lui dessiner les tortues géantes et le taxi culte du Cinquième élément.

Outils de télépathie assistée, lentilles hologrammatiques ou encore tourisme interstellaire sur des plages faisant penser à celles de Dubaï, 2740 est le monde où se partagent les connaissances (9 siècles de musique peuvent être écoutés partout) mais aussi les innovations puisqu’à part sur terre, tous les humanoïdes de Valérian communiquent sans les mains, via les MindPhones. 

Si comme dans le Cinquième élément, la musique a une place particulière dans Valérian, le film innove aussi en montrant les sports et divertissements de demain. Du marathon lunaire aux courses aériennes d’humains oiseaux, les peuples de la Cité des mille planètes peuvent aussi savourer des voyages de 32 minutes pour aller de la Terre à Mars

Un monde utopique

Plus qu’un monde futuriste, Luc Besson tente aussi de montrer une certaine utopie dans son dernier opus. Pour témoigner de la diversité du monde du 28 ème siècle, le réalisateur n’a pas lésiné sur les effets spéciaux. Dans une vidéo où il analyse l’une des scènes du film pour le New York Times, où il analyse l’une des scènes du film pour le New York Times, Luc Besson montre son héros en train de traverser tous les différents mondes imaginés pour le film. La scène a mis près de deux ans pour être créée et six ans ont été nécessaires à l’élaboration des mondes et des différents aliens .

Dans le film, la terre renaît via une agriculture 100% biologique, le travail est relégué aux machines mais les humains sont une espèce rare à préserver. Autre point fort, l’héroïne féminine Laureline est aussi vaillante que Leelo dans le Cinquième élément. On peut aussi voir des aliens aux traits humains comme le personnage de Jaasnor sorte d’insecte soldat.  

Valérian se démarque en imaginant un monde de demain moins apocalyptique que dans d’autres blockbusters. Alors que Luc Besson avait écrit le Cinquième élément quand il n’était encore qu’au lycée, Valérian ressemble beaucoup à un rêve d’enfant devenu grand.

Quand Luc Besson imagine la banque du futur

En se basant sur l’univers de son film, Luc Besson a imaginé, en partenariat avec BNP Paribas, ce que serait le distributeur automatique de demain. À découvrir dès maintenant à travers une série de trois mini vidéos délirantes, mettant en scène des personnages aliens secondaires du film.

Partez à la découverte de contenus exclusifs, coulisses du film, making-ofs et jeux sur www.valerian.bnpparibas .