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Toutes les questions que vous n’auriez jamais osé poser sur le tennis à la numéro 7 mondiale
Toutes les questions que vous n’auriez jamais osé poser sur le tennis à la numéro 7 mondiale

Toutes les questions que vous n’auriez jamais osé poser sur le tennis à la numéro 7 mondiale

Par Konbini avec Nike

Publié le

Cris, décompte des points, parquet, terre battue, fumigènes en tribune… Caroline Garcia a répondu à nos questions les plus absurdes et naïves sur le tennis, le tout depuis le rooftop de l’Arche de la Défense.

Le tennis est parfois affublé, à tort, de l’image un peu rigide d’un sport extrêmement codifié et réglementé, réservé à une certaine catégorie de personnes. C’est avec l’objectif de casser ces clichés et ces idées préconçues que Nike a décidé d’organiser les 22 et 24 mai derniers la première édition du tournoi Nike Court.

Sur les terrains installés sur le toit de l’Arche de la Défense, joueurs en devenir, artistes et cool kids parisiens se sont affrontés lors d’un tournoi au sommet. Konbini en a profité pour interviewer Caroline Garcia (actuelle numéro 7 mondiale et meilleure Française) sur les clichés qui aujourd’hui encore façonnent l’image du tennis.

Konbini |Est-ce que dès plus jeune âge, en formation, on vous apprend à avoir des cris spéciaux quand vous tapez dans la balle ?

Caroline Garcia | Non, non, pas du tout ! C’est vraiment quelque chose qui est naturel. Quand tu t’engages et t’investis complètement, il y a un bruit qui sort. Ça ne se contrôle pas.

Est-ce que tu pourrais reconnaître un joueur à son cri ?

Ouais, parfois tu peux. Si tu fais bien gaffe, il aura toujours à peu près le même cri.

Est-ce que tu aimerais bien qu’un grand chelem se joue sur du parquet ?

Non ! Ça, c’est sûr que non. D’ailleurs, quand il pleut dans les tournois français de basse catégorie, on joue en gymnase et c’est injouable. La balle fuse et ça va beaucoup trop vite.

Pourquoi personne ne tire sur l’adversaire pour avoir un point ?

Ben, disons que si l’adversaire l’évite, la balle est faute…

Mais c’est à essayer…

Mouais, non. Elle vient de trop loin – à part quand la fille est au filet, mais sinon c’est impossible.

En parlant de filet, pourquoi on s’excuse quand il y a let, alors que techniquement c’est un super point ?

Je sais pas trop, peut-être parce que c’est un geste involontaire.

Si c’est travaillé…

[Rires] Je ne l’ai jamais travaillé parce qu’il y a trop de risques, trop de chances de prendre le filet.

Est-ce que la tenue peut être une alliée, un bonus dans tes performances ?

Disons que mieux tu te sens dans ce que tu portes, mieux c’est. Après, si tu parles pour déconcentrer l’adversaire, je ne suis pas sûre que ça marche [rires].

Pourquoi on ne compte pas les points en “1, 2, 3” ?

[Rires] Généralement, les gens s’y perdent tout le temps, c’est tellement compliqué. Je dois avouer que je ne sais même pas. Après, c’est vrai que ce serait plus simple pour tout le monde.

C’est pas trop compliqué de laver les taches de terre battue à la machine ?

Si ! C’est surtout les chaussettes qu’on perd pas mal à la machine !

Est-ce que tu préférerais qu’il y ait une grosse ambiance dans les tribunes, avec des fumigènes de partout ?

C’est un jeu de précision qui se joue à pas grand-chose, donc pas tellement, non. Je ne sais pas si c’est l’habitude de toujours jouer dans le silence, mais quand il y a trop de bruit ça devient difficile de se concentrer.

Est-ce que tu t’es mise au tennis parce que les balles sentent trop bon quand on les achète ?

Tu trouves que ça sent bon ? Ça sent surtout le produit chimique à fond.

Suivez les performances de Caroline Garcia et des autres athlètes Nike Court durant le mois de juin et retrouvez l’actualité de la marque sur son site.