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Tout ce que vous ne saviez pas sur Peanuts et la dernière collab Lacoste

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Tout ce que vous ne saviez pas sur Peanuts et la dernière collab Lacoste

Tout ce que vous ne saviez pas sur Peanuts et la dernière collab Lacoste

Par Konbini avec Lacoste

Publié le

Depuis 1950, les petits personnages de la mythique bande dessinée PEANUTS ont fait rire et réfléchir des générations entières de kids américains et européens. Les mêmes qui ont grandi avec des polos Lacoste. 

Snoopy, le chien philosophe, Charlie Brown, son maître dépressif et malchanceux, Lucy, la cynique autoritaire et Woodstock le petit oiseau jaune, nombreux sont les personnages mythiques de la BD Peanuts. Depuis plus de 70 ans, ils remplissent les pages de livres qu’on se passe de génération en génération. Et pour cause, avec leur dessin ultra épuré et leurs punchlines indémodables, ils séduisent tous ceux qui posent leurs yeux sur eux. Au point qu’ils font aujourd’hui partie intégrante de la pop culture. Sans surprise, ils se retrouvent donc sur des polos Lacoste pour une collab au sommet du style. On vous raconte donc l’histoire de ces deux destins parallèles, et de leur rencontre. 

L’art subtil de la révolution

Le premier point commun entre les personnages de Peanuts et la marque au crocodile, c’est un sens aigu de la révolution. Pas celle des fusils mais celle des habitudes. Dès son arrivée dans le tennis, René Lacoste bouscule tout : la conception des raquettes, le jeu mais aussi les vêtements, en créant notamment la première marque portant un symbole brodé à l’extérieur et visible de tous en 1927. De son côté, Charles M. Schultz, le créateur de Snoopy et de ses potes, casse les codes de la BD américaine avec des cases poétiques, critiquant avec finesse la tristesse et l’ennui des banlieues américaines et de la classe moyenne qui les occupe dans les années 1950. Mais surtout, il innove en présentant un héros, Charlie Brown, profondément dépressif, ce qui a le don de choquer la bonne société américaine biberonnée à la culture du succès. 

Ça ne vous aura pas échappé, les dessins de Schultz sont d’une simplicité et d’une élégance à toute épreuve. Des traits fins, presque enfantins, peu de couleurs et une pureté éclatante, parfaitement adaptée à la critique qu’ils portent. Si Lacoste n’a jamais eu la prétention de porter un message social, la marque a toujours prôné une esthétique proche de celle de Peanuts : des vêtements aux lignes fines, pures, tombant toujours bien. Mais surtout, sans le moindre ajout d’élément superficiel et inutile. De la même manière que les pensées de Schultz ne devaient pas être altérées pas des dessins trop complexes, le confort des vêtements Lacoste n’a jamais été dérangé par des lourdeurs stylistiques. Bref, ces deux univers partagent un évident sens de l’esthétique. 

Un bien étrange surnom

Peu de gens le savent mais le père de Charlie Brown et Snoopy n’aimait pas le nom Peanuts. Il aurait voulu que sa série s’appelle Good Old Charlie Brown. Malheureusement, ses éditeurs n’ont jamais accepté ce nom et lui ont imposé celui de “cacahuètes”, soit quelque chose de futile, de sans intérêt, qui correspond finalement assez bien à la pensée cynico-humoristique qui s’en dégage. René Lacoste non plus n’avait pas choisi son surnom de crocodile, attribué à sa ténacité sur le cours. De la même manière que Peanuts est devenu une œuvre mythique connue internationalement, la marque de vêtements s’est construite sur l’étonnant surnom de son dandy de fondateur, jusqu’à devenir un symbole d’élégance à travers le monde. 

Expansion mondiale et rencontre au sommet

Comme nous venons de l’aborder, la BD Peanuts et la marque Lacoste sont toutes les deux passées d’un marché de niche à une renommée planétaire. Et c’est peut-être le point le plus important de ces histoires parallèles. Car les entrées respectives de ces deux géants dans la culture mondiale est très précisément ce qui fait qu’ils ont pu se rencontrer dans une collaboration incroyable entre Peanuts et Lacoste. Aussi reconnaissables et identifiables l’un que l’autre, le petit crocodile vert et le chien philosophe sont donc désormais côte à côte sur une série de fringues ultra collector qui va entrer dans les garde-robes de tous les cool kids du monde. 

Vous pouvez d’ailleurs retrouver quelques-unes des pièces les plus folles dans cet article et par ici. Vous verrez, elles sont aussi bien adaptées à un gros match de tennis que pour regarder les étoiles le nez en l’air.