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Vélos à dispo, taxis sur les fleuves et full connectivité : les métropoles techno-green du futur sont déjà là
Vélos à dispo, taxis sur les fleuves et full connectivité : les métropoles techno-green du futur sont déjà là

Vélos à dispo, taxis sur les fleuves et full connectivité : les métropoles techno-green du futur sont déjà là

Par Konbini avec oBike

Publié le

A force de rêver à de meilleurs lendemains pour nos métropoles, nous oublions parfois que le futur que nous fantasmons est déjà là. De la digitalisation du quotidien aux grandes inventions écologiques qui font tourner les villes, la réalité dépasse souvent la science-fiction. Visite guidée du présent et du futur à la fois. 

Du New New York un peu flippant de Futurama aux harmonieuses et pacifiques cités de la planète Naboo de Star Wars, la science-fiction nous nourrit depuis toujours de visions plus ou moins positives des métropoles du futur. Cités arboricoles suspendues, enfers de béton orwelliens ou paradis sous-marins, ces nombreux possibles nous ont aidés à comprendre ce que nous voulions faire de nos villes, et en particulier de Paris. Soit une symbiose entre technologie de pointe, bien-être et respect de l’environnement. Petite visite de ce Paris du futur qui est déjà un peu là.

Des technologies au service des usagers

Dans le Paris de 2017, nous ne sommes à la solde ni des agents Smith ni des sondes de Matrix. Nous ne sommes pas les esclaves de la technologie, car nous l’avons pensée pour nous simplifier la vie et laisser à nos esprits le temps de se préoccuper de questions plus importantes que le meilleur moyen d’aller au boulot.

Depuis un simple téléphone, une montre connectée ou une tablette, nous pouvons commander n’importe quoi, n’importe quand. Une robe haute couture pour éblouir ce date qu’on aime bien, un brushing express à la maison ou au bureau (au petit jour avant une réunion ou à la fin de la journée pour un cocktail pro), ou encore un poké bowl pour se restaurer de façon bien healthy : tout est désormais possible. Le tout livré là où nous en avons besoin, au coin d’une rue, chez un pote, ou dans le parc où on fait notre exercice matinal. Plus fou encore, ce sera peut-être bientôt un drone qui se pointera. Ou alors notre commande sera déjà sur la table de notre salon en rentrant le soir. Et ça, c’est quand même le bonheur.

Et ce n’est pas tout. Avec des applications comme Paris ci la sortie, nous ne perdons plus de temps à chercher la bonne sortie de métro. Chaque jour, un de nos petits soucis disparaît grâce à une appli toute simple. Avec le temps ainsi gagné, parfois juste quelques minutes, nous nous épargnons de courir n’importe comment, de transpirer et malmener nos petits cœurs. Plus sereins, nous sommes aussi plus calmes et plus cordiaux. Et l’ensemble de la vie en communauté s’adoucit.

Dès que nous sortons des transports en commun, les solutions continuent à s’offrir à nous par dizaines. Aujourd’hui, nous pouvons par exemple réserver un scooter au coin de la rue, plutôt que de passer une heure à se rappeler où on a mis le sien la veille. Mieux encore, on peut sauter sur le premier vélo en libre-service oBike sur notre chemin, pour ensuite le laisser près de notre destination où quelqu’un d’autre pourra à son tour s’en servir. Bref, même plus besoin de pouvoirs de Jedi pour convaincre un gars de vous laisser le dernier Vélib’ de la station.

Des centres-villes techno-écolos

Bien sûr, il y a encore du boulot à faire. Mais depuis des années, Paris s’est lancé dans un grand processus de transformation visant à créer une métropole calme, verte, aussi peu polluée que possible et agréable à vivre. Parsemée de grands parcs et d’espaces verts divers et habitée par une population responsable, il faut bien dire que la capitale partait déjà avec de beaux atouts. Cela ne l’empêche toutefois pas de limiter progressivement l’accès de son centre aux véhicules peu polluants, ou absolument nécessaires au bon fonctionnement de la ville comme les secours, les livraisons et les transports.

Et même si la ville a déjà prévu d’atteindre l’objectif de 1 400 kilomètres de pistes cyclables à l’horizon 2020, elle ne s’arrêtera pas là. Eh oui, la ville du futur pourrait bien reposer sur une invention du XIXe siècle. La preuve ? Même E.T., ce petit gars capable de construire une navette spatiale, l’a préférée à la voiture.

Quant aux véhicules inévitables et/ou nécessaires, il suffit de les penser écologiques et inventifs. Un peu comme les bus qui roulent maintenant au marc de café à Londres et dont les émissions de CO2 sont inférieures de 15 % à celle des véhicules traditionnels.

Dans la même logique, nous devons essayer d’appliquer certaines règles. Plutôt de courir prendre le métro le matin et ressortir tard le soir pour un jogging, essayons de conjuguer les choses qui peuvent l’être. Une bonne marche ou quelques coups de pédales pour éviter de faire tourner une machine et de puiser dans nos réserves d’énergie n’a rien de futuriste. C’est même la chose la plus simple qui soit. Et elle pourrait transformer ce Paris que nous aimons tant et sauver la planète sur laquelle il se trouve.

Plus largement, l’idée consiste à créer une coexistence avec le reste de notre planète. Et si possible dans un style plus proche d’Avatar que du Cinquième Élément. À noter toutefois que les chances que nous nous branchions aux Autolib’ par les cheveux, comme le font les Na’vi avec leurs bestioles, restent assez faibles…

Une autre approche de nos déplacements

Quant aux transports personnels, ils évoluent aussi tous les jours. Même si nous n’avons plus besoin de les posséder pour les utiliser. Désormais, nous les partageons et ça n’a rien d’une mode. Via des services comme oBike, nous pouvons simplement sortir de chez nous, localiser le vélo le plus proche, le déverrouiller avec un simple scan et grimper dessus. Une fois arrivé à destination, il suffit de le déposer et de le verrouiller pour que l’utilisateur suivant puisse s’en servir.

Quant à ceux qui sont vraiment pressés, ils peuvent emprunter des taxis et les partager avec d’autres utilisateurs pour limiter le nombre de véhicules roulant. Pour ceux qui sont dans ce cas, soyez quand même prévenus : bientôt, certains voleront au-dessus de l’eau avec tellement de style que Korben Dallas en pâlira de jalousie. En effet, suspendus à quelques centimètres au-dessus de la Seine, ces Seabubbles au design épuré transporteront bientôt les Parisiens dans un grand ballet parfaitement silencieux et respectueux de la nature.

Un futur à notre portée

Alors, elle est cool notre ville, non ? Ben oui, vous ne l’aviez peut-être jamais réalisé, mais les technologies du futur sont déjà là. Testées ou disponibles, elles nous tendent les bras pour faire passer un cap à Paris et aux Parisiens. Il ne manque en fait qu’un véritable changement de mentalité, une approche respectueuse des autres (humains ou pas) et de la vie elle-même.

Sans ça, technologies ou pas, notre monde pourrait bien finir comme celui de Blade Runner ou connaître une fin à la Phénomènes. Vous adorez le premier mais vous n’avez jamais vu le second ? C’est pas grave, continuez à pédaler, ça ne vaut pas le coup de vous arrêter pour ça.