Pourquoi ces casses non résolus sont devenus mythiques
Pourquoi ces casses non résolus sont devenus mythiques

Pourquoi ces casses non résolus sont devenus mythiques

Par Konbini avec Paco Rabanne

Publié le

Des braquages de grands hôtels avec des millions partis dans la nature, des tourtereaux braqueurs qui dérobent aux riches, des gangs plein d’ingéniosité pour commettre leurs méfaits. Ces casses jamais résolus sont devenus mythiques. 

À l’occasion du concours Paco Rabanne qui vous propose de gagner un diamant et un lingot d’or, voici un tour d’horizon des casses mythiques de l’histoire.

Les “Ladykillers” du casse

Braquer une banque requiert souvent de l’ingéniosité mais aussi une certaine ténacité. En 2014, un groupe de malfrats a l’idée de creuser un tunnel de 30 mètres pour braquer la banque du Crédit Agricole de Bessières comme dans le film des frères Cohen, Ladykillers. Après deux mois de travail, “le gang des égoûtiers” comme la presse les a surnommés arrive à la banque  et y dérobe  plus de 2 millions d’euros.

Contrairement à leurs collègues au cinéma, les cambrioleurs de Bessières sont moins amateurs. Minutieux, ils s’entraînent sur un coffre-fort des semaines avant le casse. Aujourd’hui, si les principaux membres du gang ont été arrêtés, leur précieux butin a, lui, disparu. Dans le même style rocambolesque, un autre casse a marqué l’histoire. A Paris en 2007, trois hommes déguisés en femme braquent la joaillerie Harry Winston. Bien préparés, ils y entrent en connaissant déjà tout du lieu et prennent avec eux 85 millions d’euros de bijoux.

Des tableaux volatilisés comme envolés

Le 5 mai 2010, cinq tableaux dont un Picasso sont dérobés dans le musée d’art moderne de la ville de Paris, une valeur estimée à 100 millions d’euros. L’auteur appelé “L’homme araignée” a pour seul point commun avec spider-man, sa dextérité. D’après les caméras de surveillance, l’homme a agi seul en entrant par la fenêtre et en découpant les toiles au cutter. L’alarme du musée, elle, n’a pas fonctionné.

En 2012, les enquêteurs réussissent à arrêter le coupable, Vrejan Tomic et l’un de ses complices qui agissaient pour le compte d’un collectionneur voulant enrichir sa collection d’œuvres d’art. L’homme dira même aux enquêteurs qu’il a toujours aimé le cubisme. Les tableaux, eux, se sont volatilisés dans la nature.

Autres tableaux jamais retrouvés, ceux volés dans les années 90 par des braqueurs dans un musée de Boston. Parmi les douze oeuvres que prennent les voleurs, 3 Rembrandt. La valeur de ces tableaux jamais retrouvés s’élève à 218 millions d’euros. Si les coupables ont bien été retrouvés 23 ans plus tard, la prescription étant écoulée, ils n’ont pas été inquiétés par la justice.

De l’argent qui disparaît comme par magie

 En 2015, la Banque centrale Moldave découvre qu’un milliard d’euros a tout bonnement été volé de ses caisses en 2014, l’argent semble s’être évaporé. Malgré les manifestations de 10 000 Moldaves mécontents, le pays n’a toujours pas donné de version officielle à la raison de cette disparition. Certains accusent des crédits obscurs donnés à des banques Russes, d’autres une magouille d’un homme d’affaires moldave, placé en résidence surveillée. Entre corruption et règlements mafieux, L’argent, lui, court toujours…L’histoire est digne d’un scénario de cinéma et rappelle sans nul doute le film Insaisissables où l’argent disparaît des banques comme par magie, grâce au savoir-faire de maîtres illusionistes.

“The great train robbery”, le braquage qui a fait date  

C’est un peu la référence classique, à mi-chemin entre le western et le feuilleton de gangsters. Il y a plus d’un demi-siècle, un gang dérobait 50 millions d’euros dans un train postal entre Londres et Glasgow, si deux des voleurs ont été arrêtés après plusieurs semaines de cavale ainsi que plus de 15 complices, l’un des commanditaires lui, n’a jamais été retrouvé par Scotland Yard.

En 1964, l’un des auteurs du vol arrive à s’échapper de prison. 50 ans après, certains des membres courent toujours. Entre les courses-poursuites et ses multiples rebondissements, ce braquage de train n’a cessé d’inspiré des films, livres et chansons, et même un documentaire où le crime est raconté par l’un de ses auteurs.

Aujourd’hui, les braqueurs ne cessent de trouver de nouvelles méthodes pour battre les records de casse. Fini les revolvers et la bande organisée, place aux hackers comme en Russie où une cinquantaine de Hackers ont été arrêtés début juin, accusés d’avoir piraté des banques. Leur inspiration ? Des geeks américains qui ont braqué près de 45 millions de dollars en 2013.

Avec Paco Rabanne, vous n’aurez même pas besoin de jouer les hors-la-loi pour offrir un diamant ou un lingot d’or. Taguez la personne de votre choix sur Twitter avec son nom d’utilisateur et le #IAMLADYMILLION ou #IAM1MILLION. Rendez-vous sur www.pacorabanne.com/million