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L’histoire de la danse urbaine via ses grands mouvements et danses iconiques

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L’histoire de la danse urbaine via ses grands mouvements et danses iconiques

L’histoire de la danse urbaine via ses grands mouvements et danses iconiques

Par Konbini avec Intel

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La danse urbaine, c’est plus qu’un mouvement, c’est un héritage. La preuve.

La danse classique et le modern jazz sont toujours aussi populaires, mais depuis quelques années, les danses urbaines ont fait une montée en puissance à l’image du rythme des musiques qui les accompagnent : endiablé ! Hip-hop, breaking, battles de popping et de locking… Tous ces styles ont un point commun : l’effet wahou qu’ils créent à chaque représentation, et qui inspire toutes les générations. Et parce que cette histoire est on ne peut plus passionnante, Konbini et Intel s’associent pour la retracer, à travers des mouvements iconiques.

Différents styles, un maître-mot : la diversité

 La danse urbaine, c’est avant tout une histoire de diversité. Et pour cause, si cette discipline a vu le jour, c’est grâce aux communautés afro-américaines et portoricaines qui l’ont portée sur le devant de la scène, puisant dans leur histoire, leurs inspirations pour créer un mouvement qui, 50 ans plus tard, continue de porter des millions de personnes au quotidien. D’ailleurs, même si l’on parle de LA danse urbaine en générale, il n’existe pas qu’une seule façon de la pratiquer. Bien au contraire, cette discipline est faite de courants qui suivent les inspirations des danseurs, et leurs noms vous disent probablement quelque chose :

Le breaking (et non breakdance, contrairement à la croyance populaire !)

 Il s’agit sans doute le style de hip-hop le plus connu, mais aussi le plus intense. L’objectif ? Enchaîner les figures debout ou au sol, en s’inspirant notamment des sports de combat. Cela demande de l’agilité, de l’énergie, de la force, de la souplesse… Une discipline très complète, donc. Pratiqué par les B-Boys et B-Girls du monde entier, depuis plus de 60 ans (eh oui, les premières archives de breaking remontent à 1959 !), c’est LA discipline de référence en matière de danses urbaines. A tel point qu’il y a généralement un amalgame entre elle et les autres, qui sont pourtant bien différentes.

Le new style

Né dans les années 90, ce dernier est un mélange de hip-hop mais associé à des tonalités plus électroniques. L’idée : réinventer le old school en y apportant une petite touche de modernité et en mixant les époques. C’est d’ailleurs la grande spécialité de Salif Gueye. A 24 ans, ce jeune danseur s’inspire beaucoup du roi de la pop et de son célèbre pas, le Moonwalk, et des millions de personnes ont déjà consulté ses vidéos. Le new style, c’est avant tout avoir le sens du détail, et ça tombe bien : c’est exactement ce que le danseur apporte à la chorégraphie conçue dans la dernière campagne pour Intel EVO.

La street dance

Ce terme définit les danses qui ont évolué en dehors des studios pour se développer dans la rue et les clubs. Elles représentent une contre-culture qui trouve son inspiration dans les origines de chaque communauté, et elles sont en constante évolution. Cette mixité inspire beaucoup Amelia Ramos, jeune parisienne débordante d’énergie qui aime les chorégraphies rapides, précises et énergiques : trois adjectifs qui décrivent parfaitement la street dance. Cette discipline est d’ailleurs l’une des plus connues du grand public, et pour cela, il faut dire merci au cinéma, qui s’en est si souvent servi comme d’une inspiration. Après tout, comment ne pas se laisser porter par l’énergie qui la caractérise ?

Le popping

Cette danse est constituée de ce que l’on appelle des “isolations musculaires”. En gros, on contracte ses muscles de façon fluide ou saccadée pour varier les énergies et les mouvements sur des rythmes funk. Mais attention, cela demande un sacré contrôle et une vraie coordination. La preuve avec les performances de Sadeck Berrabah, spécialiste en la matière. Créatif et perfectionniste, il vise l’excellence et l’a prouvé en remportant de nombreuses battles à travers le monde, avant de devenir juge en la matière. La fluidité et les enchaînements sont les maîtres mots du popping, raison pour laquelle Sadeck adore cette discipline. Il l’affirme lui-même : ce qui lui plaît dans son art, c’est la connectivité.

Le locking

 Inspiré par la funk (au même titre que le popping), le locking est une technique qui consiste à verrouiller une position sur la musique. De l’extérieur, on a l’impression que les danseurs sont toujours en mouvement. Mais en réalité, ils marquent des arrêts où ils bloquent tout leur corps, ce qui demande une vraie maîtrise. Plus musical et plus expressif que le breaking, le locking se danse avec le corps, mais aussi avec le visage, puisque les expressions, sourires et grimaces font partie intégrante des chorégraphies. C’est un spectacle à part entière qui demande un engagement de la tête aux pieds.

Toutes ces danses se pratiquent aussi bien en solo qu’en groupe à travers des chorégraphies, et souvent, elles donnent lieu à des battles. Deux danseurs ou deux crews opposés s’affrontent en musique et rivalisent d’originalité dans leurs pas et leurs figures, pour un résultat impressionnant.

Ces styles sont la spécialité de Sadeck, Amelia et Salif.

À l’occasion de la création de la certification Intel EVO, Intel leur a posé une question : “Et si Intel Evo était une danse ?”. Pour les PC portables, la certification Intel Evo c’est la garantie d’un équilibre parfait entre la légèreté, la connectivité, la puissance et l’autonomie.

Pour Sadeck, la réponse est donc claire : “Notre chorégraphie, c’est la rencontre de trois univers : Amélia la puissance, Salif le détail la précision et moi la connectivité. Ça nous donne un équilibre qui pour moi définit parfaitement cette question.” À vous de découvrir cette danse pour vous faire votre propre idée ici.