Le festival lyonnais continue sa lancée avec un casting toujours aussi alléchant.
(© Getty/FilmMagic)
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Dans le paysage des festivals musicaux en France, on retrouve cette formule quasi-généralisée de grandes scènes en plein air devant un grand espace en pelouse. Non que cela nous déplaise, bien au contraire, force est de constater qu’il demeure quelques villages d’irréductibles Gaulois qui préfèrent déroger à la règle. Nuits Sonores en premier.
Le festoche alterne, et ce depuis plus de dix ans maintenant, entre journée dans un hangar (la Sucrière) – plus une petite scène à l’extérieur – et nuits dans un immense espace en intérieur, ambiance industrielle. Et c’est sans parler de tous les évènements qui surgissent de nulle part dans Lyon pendant une semaine festive à souhait. Ajoutez à cela une programmation électronique pointue et qualitative, et vous comprendrez notre amour pour cet évènement.
Et cette année, cela ne devrait pas changer. Les premiers noms sortis annoncent encore une sacrée édition, à commencer par ceux des curateurs des journées — pour ceux qui ne connaîtraient pas la recette, pour les créneaux de jour à la Sucrière, le festival invite des artistes à être le curateur le temps d’une journée.
Si le festival ouvre le 28 mai, il faudra attendre le mercredi 29 pour vivre une première journée folle, avec une curation signée le grand Bonobo. Le jour suivant, c’est Peggy Gou qui s’en chargera, suivie de Maceo Plex pour le vendredi 31, et Lena Willikens le samedi 1er juin !
En plus de cela, imaginez que vous pourrez voir sur scène pour la première nuit le grand James Blake, et vous comprendrez que le festival est déjà un incontournable de la saison. Comme d’habitude.
