Raphaël Personnaz explore la Sibérie dans le nouveau clip d’Ibrahim Maalouf

Raphaël Personnaz explore la Sibérie dans le nouveau clip d’Ibrahim Maalouf

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Par Ariane Nicolas

Publié le

Le clip de “Red & Black Light”, chanson extraite de l’album du même nom d’Ibrahim Maalouf, propulse l’acteur dans le froid sibérien. 

Il y a cinq ans, l’écrivain Sylvain Tesson sortait Dans les forêts de Sibérie, récit autobiographique racontant ses six mois passés dans une cabane au bord du lac Baïkal. Le livre, publié chez Gallimard, a été adapté pour le grand écran par Safy Nebbou (L’Empreinte de l’ange, Comme un homme). Dans le rôle de l’explorateur, Raphaël Personnaz, acteur à la gueule d’ange qu’on avait apprécié dans Quai d’Orsay, Une nouvelle amie ou encore L’Affaire SK1.
Ibrahim Maalouf s’est greffé à ce projet pour le clip de “Red & Black Light”, coréalisé avec Safy Nebbou, chanson qui devrait en toute vraisemblance figurer dans la bande-originale de Dans les forêts de Sibérie. Le clip a été réalisé à partir d’images de ce film, dont la sortie est prévue le 15 juin, mais pas seulement : on aperçoit notamment Raphaël Personnaz jouer de la trompette, instrument de prédilection du musicien.

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“Une ode à la femme d’aujourd’hui”

Sous la vidéo, Ibrahim Maalouf explique ce dont parle ce titre,  éponyme de l’album Red & Black Light, sorti à l’automne 2015… Pas de nature ni de grands espaces, contrairement à ce que le clip laisse supposer, mais des femmes :

“‘Red & Black Light’ est une ode à la femme d’aujourd’hui et à son rôle fondateur et fondamental pour espérer un avenir meilleur. Les femmes de ma famille ont eu, et ont encore aujourd’hui, une influence incommensurable sur tout mon travail musical. Notamment parce qu’elles m’inspirent considérablement dans leur façon de gérer leur quotidien et celui de leur entourage.
Malgré des vies en labyrinthes, complexes et souvent dramatiques, elles portent en elles une force et une stabilité similaires à une forme de transe inébranlable. Elles me donnent l’impression de ne jamais perdre de vue ce qui est essentiel.”