AccueilArchive

Clip : Angèle invite Pierre Niney pour dénoncer le sexisme dans “Balance ton quoi”

Clip : Angèle invite Pierre Niney pour dénoncer le sexisme dans “Balance ton quoi”

Image :

©Capture d’écran YouTube / Angèle – Balance Ton Quoi

avatar

Par Guillaume Narduzzi

Publié le

Welcome to the "Anti-Sexism Academy".

À voir aussi sur Konbini

Alors que son frère Roméo Elvis a dévoilé son album Chocolat vendredi dernier, Angèle poursuit son petit bonhomme de chemin et continue de promouvoir à merveille son disque Brol. Paru le 5 octobre dernier, ce premier effort touchant de la jeune artiste est une vraie réussite, portée par les tubes que sont devenus “Tout oublier” – en collaboration avec son frère justement –, “Jalousie”, “La Loi de Murphy”, “La Thune”, “Je veux tes yeux”, ou encore le superbe titre “Ta reine”, qu’elle a d’ailleurs interprété dans les studios de Colors.

Cette fois, c’est le morceau “Balance ton quoi” qu’Angèle a décidé d’habiller d’un support visuel à l’esthétisme particulièrement travaillé. Un clip pourvu d’une dimension supplémentaire, puisque l’artiste belge a choisi d’aborder frontalement un sujet au cœur de l’actualité : le sexisme.

Dans cette vidéo réalisée par Charlotte Abramow, on découvre Angèle dans un tribunal fictif où sont jugés les actes de sexisme. La chanteuse y est à la fois juge, avocate, victime mais aussi coupable, devant un panel éclectique au possible, pour bien souligner le fait que le sexisme n’a pas de genre, d’âge ou de milieu social.

Tous les concernés sont ensuite envoyés à l’Anti-Sexism Academy, où ils pourront être remis sur le droit chemin grâce à deux armes principales : l’empathie et la communication. Angèle dirige alors un groupe dans lequel on retrouve notamment l’acteur français Pierre Niney. Si celui-ci galère au début sur des notions basiques de consentement, il devient rapidement un enseignant exemplaire de cette Anti-Sexism Academy.

Preuve que le changement est non seulement possible, mais surtout qu’il n’est pas aussi terrible que certains veulent bien nous le faire croire.