Décryptage : Qui sont les haters du Grand Journal ?

Décryptage : Qui sont les haters du Grand Journal ?

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Par Afifia B

Publié le

 1- Le sale gosse

2- Le hater dans le déni

3- Le bobo-terroriste

  • Soit il n’est pas Parisien et pour lui l’esprit Canal est mort depuis Nulle Part Ailleurs. Remplacé par une version aseptisée et promotionnelle. Pour lui Le Grand Journal c’est prisme de la Télé marketing. A voté Mélenchon aux dernières élections.
  • Le Parisien peut penser la même chose que le non-Parisien. Cela dit vivant à Paris, il fait une overdose de bobos, principalement concentrés dans la capitale, sur les blogs et le site Saywho, Paris Match du pauvre. Il aurait préféré ne pas avoir à se les taper à la TV mais il lui arrive de regarder le Grand Journal. Ne serait-ce que pour confirmer leur médiocrité et se rassurer dans son intelligence supérieure.

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4- Le chroniqueur acide

5- Le vieux de la vieille à qui on la fait pas

6- Le gentil qui balance mais n’assume pas

Son attaque : Attaque personnelle directe par la vanne. “N’oublions pas que Michel Denisot, qui présente une émission pour les jeunes en étant de ma génération, ce qui est, en soi, déjà sidérant, a su évoluer avec habilité dans tous les milieux, y compris politiques.” 
C’est qui ? Michel Drucker, dans son livre “Les 500 émissions mythiques de la télévision française”. Invité sur le plateau du Grand Journal le 8 octobre dernier, il se défendait de faire seulement de l’humour en trouvant “sidérant” que son confrère Denisot soit entouré de jeunes à 67 ans. “Sidérant”, c’est un mot fort pour la blague ! Quant à affirmer que ce dernier “a su évoluer avec habilité dans tous les milieux, y compris politiques “, il est difficile de ne pas y voir une accusation.
Michel Denisot, devenu icône médiatique, célèbre la messe la semaine tandis que Michel Drucker la célèbre le dimanche. Plateau pour l’un et et fauteuil rouge pour l’autre, ils sont les papes de leur propre programme mais leur carrières professionnelles ne se ressemblent pas.
Par jalousie ou par dégoût sincère. Par lucidité ou par mauvaise foi. Les haters trouveront toujours une bonne raison de maudire le Grand Journal. Pas parce que c’est un programme exceptionnel – c’est du pur divertissement – mais parce qu’il cristallise ce qui fait fantasmer les uns et que les autres abhorrent.