Les 25 nouvelles séries qui vont crever l’écran en 2019

Les 25 nouvelles séries qui vont crever l’écran en 2019

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© Warner Bros./TBS/Netflix

Entre les retours (très) attendus de True Detective et Stranger Things, la nouvelle saison de Big Little Lies et le dénouement de Game of Thrones, l’année 2019 s’impose déjà comme une cuvée exceptionnelle. Mais vous auriez tort de sous-estimer les nouvelles séries cachées par ces énormes blockbusters qui arrivent, et comptent bien se faire un nom parmi l’embouteillage sériel interminable de cette décennie.

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Les blockbusters

The Witcher

© Netflix

Qui n’a jamais rêvé de voir Henry Cavill en Sorceleur, une perruque argentée sur la tête pour se métamorphoser en l’impitoyable Geralt de Riv ? Trêve de plaisanterie, The Witcher est la prochaine grosse production de Netflix qui aura pour objectif de séduire autant de spectateurs que Game of Thrones. Une chose est sûre, le futur de la fantasy est assuré avec cette adaptation libre et prometteuse des romans d’Andrzej Sapkowski (l’auteur est impliqué dans la série en tant que consultant). Les portes de Kaer Morhen n’attendent plus que nous.

Où ? Sur Netflix à l’international, courant 2019.

Taux de hype : 90%. 

Carnival Row

Orlando Bloom dans <em>Romans</em>. (© WEG)

Rien que pour son tandem improbable (Orlando Bloom et Cara Delevingne), Carnival Row intrigue. Cette série de fantasy horrifique, qui se déroule dans une cité futuriste où un serial killer côtoie des créatures mystiques, reste pour le moment très cryptique. Amazon n’a toujours pas dévoilé ne serait-ce qu’une affiche promotionnelle pour se donner une idée de l’ambiance du show. Mais on est suffisamment hypé·e·s par les mots-clés pour attendre impatiemment ce carnaval noir.

Où ? Sur Amazon Prime Video à l’international, courant 2019.

Taux de hype : 60%. 

À la croisée des mondes

© New Line Cinema

La série À la croisée des mondes, coproduction entre – excusez du peu – la BBC et HBO, fait face à un double défi : proposer une adaptation fidèle et honorable des romans de Philip Pullman tout en faisant oublier l’échec du film de 2007 réalisé par Chris Weitz, qui n’a pas réussi à lancer une franchise florissante. On peut faire confiance à ces deux mastodontes du petit écran pour proposer un spectacle dantesque, avec, pour ne rien gâcher, un casting de luxe (James McAvoy, Ruth Wilson, Lin-Manuel Miranda, Ian Peck…). Cette fois, la Boussole d’or indique le nord de la réussite.

Où ? Sur BBC outre-Manche, HBO aux États-Unis et OCS en France, courant 2019.

Taux de hype : 80%.

The Mandalorian

© Lucasfilm/Disney

Le jour où Disney a racheté Lucasfilm, on savait qu’une série Star Wars se préparait dans une galaxie lointaine, très lointaine. Il aura donc fallu attendre 2019 pour que les Jedi et leur univers cosmique débarquent sur le petit écran. Avec un enfant de la pop culture comme Jon Favreau (Le Livre de la jungle, Iron Man) aux commandes, on se dit que tout est possible, le pire comme le meilleur. Disney en fait-il trop avec la saga la plus populaire de l’histoire du septième art ? Réponse sur la planète Mandalore, où Pedro Pascal campera un as de la gâchette employé comme tueur à gages dans la Bordure extérieure.

Où ? Sur Disney+ à l’international. La plateforme de streaming n’a pas encore de date de mise en ligne connue en Europe.

Taux de hype : 50%.

Les héroïnes au pouvoir

Shrill

© Hulu

Hormis la regretté My Mad Fat Diary et la cynique Dietland,qu’on avait pu se mettre sous la dent l’été dernier, trop rares sont les séries à être portées par des héroïnes en surpoids. En 2019, il faudra néanmoins miser sur Shrill pour lutter contre la grossophobie ordinaire hollywoodienne. Dans cette dramédie adaptée de la vie d’une blogueuse américaine, nous sommes présentés à Annie, une jeune femme grosse mais – et oui, ça existe – très bien dans sa peau. Aidy Bryant, humoriste qui a fait ses armes au Saturday Night Live, campera cette héroïne, tiraillée entre ses ambitions journalistiques, son boss tyrannique et sa love life chaotique.

Où ? Sur Hulu du côté des États-Unis, dès le 15 mars.Aucun diffuseur français n’est encore annoncé.

Taux de hype : 60%.

In the Dark

© The CW

Dans In the Dark (à ne pas confondre avec Into the Dark, une énième anthologie horrifique plutôt médiocre), Murphy est une jeune aveugle qui se trouve être la seule témoin du meurtre de son ami dealer de stupéfiants. Voyant que la police ne compte pas faire son travail, elle se donne pour mission de retrouver le coupable, épaulée par son fidèle ami canin Pretzel. Le truc, c’est que Murphy devra composer en parallèle avec une vie amoureuse compliquée et des parents surprotecteurs avec qui elle bosse chez Breaking Blind, une école de dressage de chiens-guides. Une jolie blonde avec de la repartie qui s’improvise apprentie détective ? Ça nous évoque d’emblée Veronica Mars et on est là pour ça.

Où ? Sur The CW aux États-Unis, courant 2019. Aucun diffuseur annoncé en France.

Taux de hype : 70%.

Euphoria

© HBO

OK, là, pour le coup, on n’a pas grand-chose à se mettre sous la dent. De ce qu’on sait du pitch pour le moment, Euphoria est l’adaptation d’une série israélienne centrée sur un groupe de lycéen·ne·s dont le quotidien est rythmé par les réseaux sociaux, le sexe, l’amitié et, évidemment, l’usage de substances illicites. Bien qu’un trailer peine à débarquer, on reste étonnamment optimistes quant à ce projet, puisqu’il est signé HBO, qui marque ici son premier teen drama, et comporte un casting de jeunes talents prometteurs comme Zendaya (Spider-Man: Homecoming), Jacob Elordi (The Kissing Booth) et Sydney Sweeney (The Handmaid’s Tale).

Où ? Sur HBO aux États-Unis et sur OCS en France, courant 2019.

Taux de hype : 90%.

The Undoing

© HBO

Depuis Top of the Lake et ensuite Big Little Lies, Nicole Kidman ne semble plus se cantonner aux projets destinés aux salles obscures et enchaîne les productions sérielles. Sa prochaine, en plus de la saison 2 de BLL évidemment, ce sera The Undoing. Tirée d’un roman signé Jean Hanff Korelitz, cette mini-série estampillée HBO permettra à Kidman d’incarner Grace Sachs, une thérapeute de renom dont la vie prétendument idyllique s’écroule lorsque son époux (Hugh Grant) est l’objet de nombreuses accusations troublantes. En clair, on devrait tenir un thriller haletant dans la veine de Gone Girl.

Où ? Sur HBO aux États-Unis et sur OCS en France, courant 2019.

Taux de hype : 60%.

Les nouveaux super-héros

The Umbrella Academy

Daredevil et les Defenders sont morts, vive The Umbrella Academy. Si les héros Marvel sont voués à disparaître sur Netflix, les jeunes justiciers créés par Gerard Way et Gabriel Bá comptent bien reprendre le flambeau. Élevés ensemble à la Umbrella Academy par leur père adoptif, les enfants Hargreeves vont devoir s’unir et apprendre à contrôler leurs pouvoirs pour protéger le monde d’une terrible menace. Le tout avec un ton déjanté et la présence d’Ellen Page et Robert Sheehan, inoubliable Nathan Young de Misfits.

Où ? Sur Netflix à l’international, dès le 15 février prochain.

Taux de hype : 80%.

Doom Patrol

Croisée au cours d’un épisode de Titans, la Doom Patrol est une équipe de super-héros dysfonctionnelle mais terriblement attachante. La nouvelle série de DC Universe s’attarde sur cette famille méconnue en France mais très populaire outre-Atlantique, notamment grâce à ses membres atypiques : Crazy Jane, dotée de 64 personnalités différentes, Mr. Nobody, une ombre vivante, Negative Man, un rescapé d’un crash dans de l’énergie négative dont le corps est désormais entouré de bandages ou encore le tendre Robotman, dont il ne reste qu’un cerveau transplanté dans un alliage de métal. Taré, et donc immanquable.

Où ? Sur DC Universe aux États-Unis, dès le 15 février. Aucun diffuseur français n’est encore annoncé.

Taux de hype : 60%.

Swamp Thing

© DC Universe

Swamp Thing est la deuxième proposition alléchante du catalogue chargé de DC Universe pour 2019. Le personnage créé par Len Wein et Berni Wrightson a rarement été porté sur grand et petit écran, exception faite du film de Wes Craven au début des années 1980. Dans cette nouvelle itération, c’est Andy Bean (Here and Now) et Derek Mears (Vendredi 13) qui prêteront leurs traits à la Créature du marais. L’intrigue est encore énigmatique mais le show devrait servir d’origin story et évoluer dans un univers différent de celui de Titans et Doom Patrol.

Où ? Sur DC Universe aux États-Unis, en mai 2019. Aucun diffuseur français n’est encore annoncé.

Taux de hype : 40%.

Watchmen

© HBO

Après les naufragé·e·s de Lost et les disparus de The Leftovers, Damon Lindelof a décidé de changer complètement de registre. Le showrunner s’est lancé un défi colossal en proposant une adaptation très personnelle de Watchmen, monument des comics créé par Alan Moore, Dave Gibbons et John Higgins. Seuls des teasers sibyllins sont apparus sur la Toile pour le moment, mais la série Watchmen est d’ores et déjà l’un des projets les plus intrigants de 2019 tant Lindelof a prouvé se maîtrise de la narration high concept.

Où ? Sur HBO aux États-Unis et OCS en France, fin 2019.

Taux de hype : 100%.

Les cinéastes en série

I Am the Night

Bien qu’elle fasse son arrivée en catimini, I Am the Night pourrait très bien être l’une des grosses surprises de la rentrée 2019. Seulement composée de six épisodes, cette mini-série nébuleuse s’inspire de la vie de Fauna Hodel, une adolescente abandonnée à la naissance d”terminée à en apprendre plus sur ses origines. Sa quête identitaire va la rapprocher petit à petit de l’affaire macabre du Dahlia noir. Dans ce projet, Chris Pine – qui campe ici un reporter névrosé – renoue avec Patty Jenkins, la réalisatrice de Wonder Woman qui signe notamment deux épisodes et officie en tant que productrice exécutive sur toute la saison.

Où ? Sur TNT aux États-Unis, dès le 28 janvier. Aucun diffuseur français n’est encore annoncé.

Taux de hype : 50%.

Now Apocalypse

© Starz

Avec Gregg Araki (Mysterious Skin) au scénario et Steven Soderbergh (Ocean’s Eleven) à la production, Now Apocalypse s’érige d’emblée comme un must-see. Dans cette dramédie barrée, quatre vingtenaires s’efforcent de concilier dating, travail et soif de célébrité dans la métropole hyperactive de Los Angeles. Tout risque de vriller lorsque Ulysses, le leader de la bande, commence à avoir des rêves vraisemblablement prémonitoires. Avec ce pitch évocateur de Kaboom, long-métrage complètement WTF signé Araki, on ne peut que se montrer enthousiastes.

Où ? Sur Starz aux États-Unis, dès le 10 mars. Aucun diffuseur français encore annoncé.

Taux de hype : 70%.

Too Old to Die Young

Celles et ceux en quête d’une série bourrée d’action, avec des personnages complexes et une esthétique travaillée comme jamais feraient bien de miser sur Too Old to Die Young. Pourquoi ? Trois mots : Nicolas Winding Refn. Le monsieur derrière les films Drive et Only God Forgives s’attelle à une tâche inédite pour lui en produisant, réalisant et coscénarisant sa première série. Remarqué depuis son rôle dans Whiplash, Miles Teller y incarnera un flic endeuillé qui se retrouve impliqué dans une sale histoire où guerriers yakuzas, assassins venus de cartels mexicains et gangs d’ados tueurs s’entrechoquent.

Où ? Sur Amazon Prime Video à l’international, courant 2019.

Taux de hype : 60%.

Central Park 5

© Louis Liotta/New York Post Archives /(c) NYP Holdings, Inc. via Getty Images

La réalisatrice de l’excellent Selma, le biopic sur Martin Luther King, a déjà fait ses premières armes côté séries avec la sous-estimée Queen Sugar. Maintenant associée à Netflix, Ava DuVernay s’attaque à un fait divers tragique, l’affaire des Cinq de Central Park. En 1989, cinq garçons de couleur ont été accusés d’avoir violé une joggeuse dans le fameux parc new-yorkais. Ce n’est qu’en 2014 qu’ils ont été innocentés, avant d’être libérés et indemnisés. Avec un casting prometteur (Michael K. Williams, Vera Farmiga…), Central Park 5 risque d’être déchirante.

Où ? Sur Netflix à l’international, courant 2019.

Taux de hype : 50%.

La castagne

Deadly Class

Bienvenu à King’s Dominion, une école réservée aux enfants… d’assassins. Sous les ordres de Master Lin (Benedict Wong), les étudiants suivent un apprentissage strict et redoutable pour devenir les meilleurs tueurs du monde. Marcus, le petit nouveau de cette rentrée, va entre autres se lier d’amitié avec une passionnée du katana, un rockeur baron de la drogue, une gothique adepte de la mort en rituel et un descendant de Staline. Deadly Class a l’air complètement barrée, donc forcément irrésistible.

Où ? Sur Syfy à l’international, dès le 16 janvier.

Taux de hype : 80%.

Wayne

On n’aurait jamais pensé dire ça, mais les scénaristes de Deadpool 2 ont imaginé la série née d’une relation officieuse entre The End of the F***ing World et Kick-Ass. Wayne est un ado perturbé qui prend quotidiennement des roustes dans la rue en voulant jouer aux justiciers. Mais le jour où des voyous du quartier dérobent la caisse de son paternel, malade et coincé au lit, ce Dave Lizewski en puissance embarque dans un road trip avec Del, sa meilleure ami aussi instable que lui. Les deux compagnons vont alors traquer les voleurs à travers les États-Unis, quitte à y laisser quelques os et molaires sur le chemin.

Où ? Sur YouTube Premium à l’international, dès le 16 janvier.

Taux de hype : 🔥🔥🔥

Warrior

Grosse surprise pour les veufs de Banshee. Son cocréateur, Jonathan Tropper, préparait en secret une nouvelle série musclée baptisée Warrior et basée sur un script inachevé de Bruce Lee. Au programme, une plongée sanglante dans le quartier de Chinatown à San Francisco à la fin du XXe siècle, alors que les Tong Wars entre bandes rivales font rage. Un jeune prodige des arts martiaux viendra tenter sa chance au milieu de cette guerre civile pour le contrôle de la drogue, de la prostitution et du territoire.

Où ? Sur Cinemax aux États-Unis, courant 2019. Aucun diffuseur français n’est encore annoncé.

Taux de hype : 60%.

La French touch

Philharmonia

© France 2

Miser sur une production de France 2, qui nous a habitués jusqu’ici à des fictions bien franchouillardes et peu modernes sauf exceptions (RIP Clara Sheller), on n’aurait jamais cru. Et pourtant, proposée en avant-première au FFTV de La Rochelle en septembre dernier, Philharmonia a tout d’une bonne série française, voire d’une bonne série tout court. Ici, Hélène, une cheffe d’orchestre exilée depuis des années à New York, revient à Paris pour prendre la tête du Philharmonia. Malheureusement pour elle, tout le monde n’est pas prêt à accepter une femme à un tel poste de pouvoir, d’autant plus que ses méthodes sont loin d’être conventionnelles. En soi, Philharmonia est un drame mesuré, bien incarné, avec ce qu’il faut d’enjeux et d’intrigues soap pour qu’elle en devienne un excellent divertissement.

Où ? Sur France 2 dans l’Hexagone, dès le 3 janvier.

Taux de hype : 60%.

Vernon Subutex

© Canal+

Depuis que le projet a été mis sur les rails, on attend impatiemment de jeter un coup d’œil à cette adaptation du best-seller de Virginie Despentes. Délaissant un temps le grand écran, Romain Duris se glissera donc dans la peau du héros éponyme de Vernon Subutex, un disquaire qui fait faillite et se retrouve à la rue du jour au lendemain. Squattant chez des connaissances à lui dans la capitale le temps de trouver une solution, il apprend la mort d’un de ses amis musiciens et entre en possession d’étranges cassettes qui vont venir chambouler son quotidien, pas forcément pour de meilleur.

Où ? Sur Canal+ en France, en février 2019.

Taux de hype : 70%.

Osmosis

© Arte

Le géant du streaming devrait lancer dans les prochains mois sa première série d’anticipation française, j’ai nommé Osmosis. Adaptée de la websérie du même nom diffusée sur Arte Creative, celle-ci dépeindra un Paris légèrement futuriste où, grâce à un implant cérébral, le mystère de l’amour a été décodé. Grâce à l’application Osmosis, il est désormais possible de trouver son âme sœur en deux temps trois mouvements… si tant est qu’on soit prêt à dire adieu à sa vie privée. Avec ce synopsis audacieux, surtout pour notre Hexagone, on se montre plutôt curieux, même si on reste sceptiques après les premières fictions douteuses de Netflix par chez nous (Marseille et, oui, Plan Cœur).

Où ? Sur Netflix à l’international, courant 2019.

Taux de hype : 40%.

Les ovnis

Kingdom

La première série originale sud-coréenne de Netflix compte bien rivaliser avec The Walking Dead. L’originalité de cette production zombiesque ? Les morts-vivants se réveillent en pleine dynastie Joseon, à l’époque féodale. Le roi envoie son fils enquêter sur une mystérieuse et violente épidémie qui frappe son peuple et se répand dans tout le royaume. Mais rien ne les préparait à voir les morts revenir à la vie sous la forme d’immondes et terrifiantes créatures.

Où ? Sur Netflix à l’international, dès le 25 janvier.

Taux de hype : 70%.

Miracle Workers

Depuis la fin de la saga Harry Potter, Daniel Radcliffe enchaîne les œuvres atypiques, pour ne pas dire bizarres (Swiss Army Man et la pièce Equus en tiennent une couche). Pour son premier rôle principal dans une série, l’acteur britannique ne déroge pas à la règle. Dans Miracle Workers, Dieu menace de détruire la planète. Pour l’en empêcher, deux anges (Daniel Radcliffe et Geraldine Viswanathan) décident de l’impressionner à l’aide d’un miracle : aider deux humains à tomber amoureux l’un de l’autre. Pas vraiment chose aisée pour ce duo passé professionnel dans l’art de la bourde.

Où ? Sur TBS aux États-Unis, dès le 12 février. Au premier semestre 2019 sur Warner TV en France.

Taux de hype : 60%.

Good Omens

Quand un ange et un démon unissent leurs forces pour protéger la Terre de la destruction, l’Apocalypse n’a qu’à bien se tenir. Surtout si le duo est incarné par deux génies de la comédie, à savoir Michael Sheen et David Tennant. Cette nouvelle adaptation d’un roman de Neil Gaiman (American Gods) et Terry Pratchett sent bon le road trip loufoque et l’avalanche de situations absurdes toutes plus délirantes les unes que les autres. Cerise sur le gâteau : du Queen dans la BO et la présence de Jon “Draper” Hamm au casting pour combler cette paire eschatologique.

Où ? Sur Amazon Prime Video à l’international, courant 2019.

Taux de hype : 100%.