Ce niveau de consommation le classe dans la catégorie 3 des buveurs, ce qui implique une augmentation des risques de dépression, hypertension et cirrhose. Il est aussi exposé à des dysfonctionnements sexuels qui pourraient compromettre ses relations avec les femmes.
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Les médecins finissent, non sans humour, par ce conseil :
Même si nous reconnaissons que la pression sociale quand on traite avec des terroristes internationaux ou qu’on mise sur de gros enjeux peut conduire à la boisson, nous conseillons à James Bond de se faire diagnostiquer et de réduire inconsidérablement sa consommation.