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Chroniques australiennes : un Big Day Out rock à Melbourne

Chroniques australiennes : un Big Day Out rock à Melbourne

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Par Olive Cougot

Publié le

Première étape : Melbourne

Arrivés dans la deuxième ville australienne en provenance de Paris, le changement est radical. Ici, l’été s’est installé depuis quelques semaines et la ville vient de connaître des records de chaleur (entre 40 et 46 degrés).
Majoritairement présente du côté de Flinders Station, la population active n’hésite pas à se poser dans les jardins publics tandis que les aficionados de tennis se ruent à l’Open d’Australie pour voir le quart de finale qui oppose le suisse Roger Federer au britannique Andy Murray. Victoire du premier, revenu à Melbourne avec des intentions aussi bonnes que les nôtres, dans un autre registre.

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Après deux jours à sillonner les rues et à écumer les endroits recommandables, le jour J arrive et on doit se rendre au Flemington Racecourse. Là-bas, les premières averses donnent le ton : le festival se fera sous la pluie.
Débarqués sur Epson Road en provenance d’Elizabeth Street, on aperçoit déjà quelques courageux faire la queue devant l’entrée principale, tous soucieux des conditions climatiques à venir. Comme eux, nous devons attendre quelques minutes pour rentrer dans l’antre équestre avant de récupérer nos accès presse au box-office, sorte de mobile-home où les responsables médias nous accueillent. Bracelets au poignet, on rejoint vite l’immense espace alloué aux concerts, où on entend les premières balances sur l’une des deux main-stages.
Sans repères, on décide de suivre les gilets fluo floqués « Photographers » pour rejoindre l’espace média où l’attachée de presse du festival vient nous parler à son tour. De suite, elle engage la conversation (“Oh, tu es de Konbini, c’est ça ?”) avant que d’autres membres du staff nous remercient d’avoir fait le voyage et s’excusent pour le temps pluvieux du matin : “normalement il fait toujours chaud ici, tu tombes mal !”. Elles disaient vrai.

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