Les 19 films qui nous ont le plus marqués en 2015

Les 19 films qui nous ont le plus marqués en 2015

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Par Ariane Nicolas

Publié le

La rédaction de Konbini a fait sa sélection globale. Cette année cinématographique a offert de beaux moments d’émotion et pas mal de surprises. Voici les films que l’on retiendra en priorité.

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Il y en avait du beau monde dans les salles obscures, cette année encore. Si 2015 a été pourrie d’après 4 Français sur 5, il a quand même été possible de se consoler un peu au cinéma. Pour notre classement des films les plus marquants de l’année, nous avons choisi un panel éclectique, entre blockbusters, belles productions internationales et renouveau du cinéma français.

Voici, plus ou moins dans l’ordre, les films qu’il fallait absolument voir en 2015. Séances de rattrapage possible chez soi ou directement au ciné pour certains d’entre eux !

Mad Max : Fury Road (George Miller)

Pour sa frénésie, ses punchlines ensablées et Furiosa, l’héroïne n°1 de l’année. What a lovely film.

Vice Versa (Pete Docter, Ronnie del Carmen)

Pour l’inventivité de son scénario et l’adorable éléphant rose Bing Bong.

Mustang (Deniz Gamze Ergüven)

Pour la douceur de son regard, ses images léchées et sa radicalité politique, l’air de rien.

Birdman (Alejandro Iñárritu)

Pour ses plans-séquences, sa critique juste de Hollywood et sa batterie étourdissante.

La Loi du marché (Stéphane Brizé)

Pour sa bienveillance, son intransigeante et la prestation plus vraie que nature de Vincent Lindon.

Amy (Asif Kapadia)

Pour ses images bouleversantes et son intro “Happy Birthday to you”.

Much Loved (Nabil Ayouch)

Pour son irrévérence et le sourire fier de Loubna Abidar.

La Tête haute (Emmanuelle Bercot)

Pour son discours nuancé, la performance de Rod Paradot et ses têtes-à-tête émouvants avec Catherine Deneuve.

Snow Therapy (Ruben Östlund)

Pour ses moments d’explosion, ses belles images de montagne et sa morale ambiguë.

N.W.A. Straight Outta Compton (F. Gary Gray)

Pour son esprit pionnier et sa BO impeccable.

Comment c’est loin (Orelsan)

Pour son humour et ses chansons joliment imbriquées dans le récit.

Ex Machina (Alex Garland)

Pour sa réflexion pointue sur l’intelligence artificielle, son décor glacial et le trouble d’Alicia Vikander.

Youth (Paolo Sorrentino)

Pour sa poésie et sa scène d’engueulade entre Harvey Keitel et Jane Fonda.

The Lobster (Yorgos Lanthimos)

Pour sa franchise, sa fin terrifiante et la voix off de Rachel Weisz.

Mon Roi (Maiwenn)

Pour sa tension permanente et son optimisme, malgré tout.

Montage of Heck (Brett Morgen)

Pour ses documents son/image inédits et sa facture travaillée.

Réalité (Quentin Dupieux)

Pour ses dialogues délicieux et sa construction #mindfuck.

Citizenfour (Laura Poitras)

Pour la dinguerie du moment filmé et son message de lutte essentiel.

Star Wars : Le Réveil de la Force (J.J. Abrams)

Pour les années passées à l’attendre et les larmes qu’on a versées.