Le sort de Christoph Waltz dans James Bond dépend de Daniel Craig

Le sort de Christoph Waltz dans James Bond dépend de Daniel Craig

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Par Thomas Andrei

Publié le

Selon la presse britannique, Christoph Waltz ne continuera à jouer le méchant dans James Bond que si Daniel Craig reprend son rôle dans les prochains films. 

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Christoph Waltz est entré dans nos vies comme un beau salaud, dans le rôle du “chasseur de Juifs” Hans Landa dans Inglorious Basterds, de Quentin Tarantino. Depuis, le germano-autrichien revet l’habit du méchant “vieil Europe” par excellence, tout en costumes sur mesure, dialogues cinglants et regards malicieux.

Hollywood ne serait plus Hollywood si l’acteur de 59 ans avait mis plus de six ans à être engagé en tant que nouvel ennemi mortel du plus célèbre des agents secrets. Dans Spectre, Waltz est formidable, et semble s’éclater comme jamais.

Ce n’est donc pas très surprenant d’entendre que l’acteur serait ok pour revenir pour non pas un mais deux James Bond. Seulement voilà, il y a une condition, et même une condition essentielle.

“Assurer la continuité”

Selon une source interrogée par le Daily Star, reprise par le le Daily Mirror :

“Christoph Waltz pourrait être un brillant adversaire contre lequel Bond se battrait comme au bon vieux temps. Mais il y a un argument décisif : c’est que l’histoire avec Blofeld [le pire ennemi de 007] ne peut fonctionner que si Daniel reprend son rôle afin d’assurer la continuité.”

Un argument important, en effet, car Daniel Craig a récemment révélé avoir développé un profond dégoût pour la franchise. Lors d’une interview avec Time Out, l’acteur britannique est allé très loin, confiant qu’il préférait se “tailler les veines” plutôt que de rependre son rôle.

Même si Naomie Harris, l’interprète de Miss Moneypenny, affirme que Daniel Craig “vit et respire comme Bond” et qu’il “était juste sarcastique”, l’info reste inquiétante, l’acteur semblant vraiment être à bout.

La perspective de jouer un peu plus longtemps aux côtés de Christoph Waltz – et quelques valises de billets – le feront peut-être changer d’avis. Puis ce n’est jamais très rassurant d’avoir par Hans Landa…

Traduit de l’anglais par Hélaine Lefrançois.

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