Christoph Waltz fera partie de l’aventure Bond 24, qui sortira en salles le 23 octobre 2015. Il devrait y endosser le rôle du méchant, en lieu et place de Javier Bardem.
Exit Javier Bardem, welcome Christoph Waltz. C’est au terme d’un jeu des chaises musicales que les cartes entre les deux acteurs ont été distribuées. Alors que Waltz était pressenti pour affronter Johnny Depp dans le prochain Pirates des Caraïbes – Dead men tell no tales, c’est finalement Javier Bardem, courtisé par Disney pour jouer le rôle d’un fantôme maléfique, qui devrait prendre sa place.
Waltz, lui, fait le chemin inverse et jouera dans le prochain James Bond, avec de fortes chances d’y incarner le rôle du méchant. Il succèderait alors à Bardem, qui affrontait Daniel Craig dans le dernier épisode en date, Skyfall (2012).
C’est le Daily Mail qui a annoncé la nouvelle, après ce tweet d’un de ses journalistes :
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Christoph Waltz a signé pour Bond 24. Le tournage commencera début décembre et aura lieu au Mexique, au Maroc, en Autriche, en Italie et à Londres.
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Waltz sait être (très) méchant
Christoph Waltz devrait camper l’ennemi historique de l’agent secret britannique : l’ignoble Blofeld. Un retour aux sources de la part du réalisateur Sam Mendes, avec le come back de ce personnage phare de l’univers James Bond à l’occasion de ce qui sera le vingt-quatrième volet de la saga (eh oui, déjà).
Et rien de mieux que l’acteur autrichien pour porter ce costume. En plus d’avoir marqué les esprits, son rôle du colonel SS Hans Landa dans Inglourious Basterds lui a valu l’Oscar du meilleur acteur dans un second rôle en 2010. Une récompense qu’il obtiendra une deuxième fois, trois ans plus tard, pour son interprétation de King Schultz, impitoyable chasseur de primes… encore dans un film de Tarantino : Django Unchained.
Après un colonel SS, après un chasseur de primes, une lourde mission attend désormais Christoph Waltz : reprendre le personnage d’Ernst Stavro Blofeld, dont la place dans ce classement des plus grands ennemis de James Bond n’est pas très difficile à deviner :
On imagine déjà Christoph Waltz avec un chat blanc dans les bras.
