Si le pastis est un breuvage dont la réputation n’est plus à faire en France, il reste encore un liquide curieux et mystérieux pour tous ceux qui n’ont pas encore eu la chance d’y goûter. Dernière preuve en date ? Cet article du New York Times, relayé par Courrier international, dans lequel un journaliste vient déclarer sa flamme à l’or jaune marseillais. Le “parfait apéritif pour les paisibles jours d’été”, selon ses mots.
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“Boire un pastis l’été ne va pas vous pomper toute votre énergie, écrit Eric Asimov, plume émérite et légendaire du quotidien américain, spécialisé dans les vins et spiritueux. Vous y puiserez plutôt la sagesse de comprendre que le repos est votre meilleur allié, qu’il vous épargnera des efforts inutiles. Or, il est particulièrement recommandé de réduire son activité lors des étés chauds du midi de la France, là où le pastis se sent chez lui.”
L’article, qui s’émeut d’une boisson populaire, simple et humble, arrive à point nommé pour rendre hommage au rituel – voire au cérémonial – qui accompagne généralement sa dégustation. Ode, donc, à un breuvage que chacun peut composer comme il le souhaite, épais ou léger, avec ou sans glaçons, mais toujours dans la bonne humeur. “Le pastis est une boisson à monter soi-même, chacun a sa recette. Trouvez la proportion d’eau et d’alcool qui vous va”, prévient le journaliste.
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