– Tu viens dîner ? Pâtes Knacki-Kiri ?
– …
– Je déconne !
– J’arrive dans vingt minutes !
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Pas de panique. D’abord, fouille ton placard, on va essayer de ne pas prendre des coquillettes. Il y a bien un paquet de pâtes un peu cheloues que tu gardes pour les grandes occasions, non ? Tu devrais en tout cas. Boum, tu les mets à cuire dans un grand volume d’eau salée, al dente hein, une à deux minutes de moins que ce qui est indiqué sur le paquet.
Pour les Knacki, on va les déguiser en petits cubes de bacon croustillants, en les découpant en très petits morceaux et en les faisant dorer sans matière grasse dans une poêle anti-adhésive. Ce reste de cantal, tu le râpes, et hop, direct à feu doux dans une poêle anti-adhésive. Le fromage râpé se transforme en tuile dorée – ça marche aussi avec du parmesan ou autre genre frometon qu’on a tous au frais. Attention de bien retirer la tuile du feu dès qu’elle prend une couleur dorée.
(© Konbini food)
Pour pimper tes Kiri, rien de plus simple, tu les bats rapidement à la fourchette avec un filet d’huile d’olive, un peu de sel et BEAUCOUP de poivre noir. Ici c’est cacio et pepe version supérette. Hop, on dresse les pâtes avec le mélange au Kiri, on ajoute les bouts de Knacki croustillants et on détend avec un peu d’huile d’olive si besoin.
Pas d’herbes fraîches pour la déco ? Mais si, ce reste de pousses d’épinards fera l’affaire. Et pour finir le dressage et apporter du croustillant, tu peux saupoudrer de quelques miettes de pain de campagne ou, si tu en as sous la main, de sarrasin torréfié. Ding dong, ton date est là.
(© Konbini food)