À l’occasion des 30 ans de la Convention internationale des droits de l’enfant, France Inter et Konbini s’associent à l’UNICEF et consacrent une journée spéciale : “Les enfants d’abord !”
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Série animée disponible sur Netflix, Big Mouth explore avec justesse et un humour définitivement politiquement incorrect les affres de la puberté. Pour figurer les changements physiques et psychologiques qui s’opèrent chez les garçons et les filles à ce moment charnière, correspondant au passage de la préadolescence à l’adolescence, les créateurs Nick Kroll, Andrew Goldberg, Mark Levin, et Jennifer Flackett ont imaginé qu’une bande de collégien·ne·s doivent tout d’un coup cohabiter avec leurs monstres hormonaux personnels.
Au fil de ses trois saisons, la série animée qui se permet tout aborde pêle-mêle la dépression, les premiers désirs sexuels, la question de la masculinité toxique et la puissance de la construction sociale chez ces jeunes personnes. Nous avons demandé à Alexandra Laberibe, une pédopshychiatre spécialisée dans l’adolescence, ce qu’elle pensait des sujets abordés dans la série. Parce que c’est bien connu, seul·e·s les vrai·e·s savent !