Un consumérisme violent
Comme l’explique l’artiste sur son site personnel ses installations en forme d’algues, de rivières ou encore de fruits, symbolisent l’infiltration des matières plastiques dans l’environnement : “Plus qu’une représentation d’un paysage surréaliste, ces installations offrent au spectateur un miroir renvoyant à son comportement destructeur. Ces œuvres dessinent une nouvelle forme de colonisation par un consumérisme violent qui n’épargne aucun territoire.”
L’objectif d’un tel projet est de “réveiller nos consciences et changer notre rapport au gaspillage“. L’ensemble du projet “Washed up : Transforming a Trashed Landscape” est à retrouver sur le site personnel de l’artiste et sur Instagram.
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