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Le candidat est sur une scène en forme de ring, seul au centre. Il emprunte un ton linéaire, accoudé à un pupitre ressemblant, trait pour trait à celui de François Mitterrand en 1988, et conclut son discours par une anaphore qui rappelle furieusement le dernier discours de Nicolas Sarkozy en 2007.
Heureusement, Bertrand Périer est là pour nous guider dans l’analyse de cet événement.