J’ai suffisamment d’expérience aujourd’hui pour savoir quand la police va se mettre à utiliser du gaz lacrymogène, témoigne le photographe. Quand ils commencent à tirer, je sais que je n’ai le temps que pour 3 ou 4 photos avant d’avoir du mal à respirer, malgré mon masque à gaz.
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Chaque citoyen qui defend les droits de l’homme, chaque travailleur qui défend les droits de l’homme et chaque étudiant qui défend les droits de l’université a été témoin de la violence policière à laquelle j’ai fait face. Beaucoup de personnes comme moi ont été virées du parc en défendant leurs droits, la démocratie. Ils ont été gazés.