Ce camp de survie prépare les gens à l’arrivée des zombies

Ce camp de survie prépare les gens à l’arrivée des zombies

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Par Matthew Kirby

Publié le

À chacun ses passe-temps.

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De l’autre côté de l’Atlantique, on parle beaucoup de la fin du monde depuis que Donald Trump a été élu président des États-Unis. Mais si certains ont commencé à accumuler les denrées dans leur sous-sol le jour de son inauguration, ce n’est rien en comparaison de la nouvelle panique de quelques Canadiens face à la menace imminente de l’arrivée des zombies.

Au Canada, le “camp de survie aux zombies” est le meilleur endroit pour se préparer à cette catastrophe. Depuis 2013, des experts de cette institution basée au sud de l’Ontario entraînent les participants à la self-defense, à l’autosuffisance et à la survie dans la nature.

Comme les morts-vivants ne sont pas la seule menace qui plane sur l’humanité, cette équipe spécialisée enseigne des “pratiques de sauvetage qui peuvent être appliquées à toutes sortes de situations”, comme l’affirme leur site Internet.

Mais c’est bel et bien leur simulation de l’arrivée de zombies qui a fait la renommée du camp. Il promet de transformer n’importe quel groupe d’individus en véritable brigade de survivants :

“Le camp de survie aux zombies est là pour vous rendre puissant, en vous apprenant des pratiques de sauvetage pour vous transformer en combattant de la zombocalypse.”

Le camp propose des ateliers de tir à l’arc, de “zombijtzu (des combats à mains nues contre des mains en décomposition)“, des tactiques militaires de terrain, ainsi que des techniques pour maîtriser le maniement des armes et l’utilisation de kits de survie.

Tous les dimanches, des douzaines de zombies envahissent le camp, et les participants forment des équipes pour combattre les morts-vivants. L’apocalypse des zombies ne se produira sans doute jamais, mais au moins il existe un lieu pour s’y préparer plus efficacement qu’en regardant The Walking Dead.

Allez faire un tour sur leur site Internet si vous êtes intéressés.

Traduit de l’anglais par Sophie Janinet