“Lorsque les filles viennent à l’entraînement, on doit organiser le transport pour les amener ici puis les ramener chez elles, parce que ce sont des filles et on pense à leur sécurité. Il y a également un barrage de sécurité avec des soldats armés autour du stade. Il y a tellement de défis, qu’il s’agisse de la sécurité ou du manque de ressources. Mais cela ne va pas nous décourager dans notre ambition d’établir des clubs de football féminin dans ce pays”
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“Cela fait sept mois que je joue au football, mais ma famille n’est au courant que depuis deux mois. J’ai caché cela à ma mère parce qu’elle ne m’aurait pas permise de jouer au football. Elle l’accepte désormais, et c’est déjà ça, mais le reste de ma famille n’est pas content.”
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Compliqué dans ce climat de réellement s’épanouir dans cette passion mais qu’importe, les ambitions restent intactes pour Hibaq Abdukadir, joueuse de l’équipe particulièrement optimiste : “J’ai pour but de progresser autant que les footballeuses qui jouent pour Barcelone.” Un beau message d’espoir.